Une sirène parmi vous

Dans ce monde nombreuse sont les légendes qui nous entourent, l’une d’elle parle d’être mystique appeler Sirène. Ces créatures dite mi femme et mi poisson serait doter d’une beauté digne d’une déesse et aurait le don de jouer d’instrument telle de professionnel et aurait un chant dés plus beau qui séduiraient les navigateurs qui, attirés par les accents magiques perdaient le sens de l’orientation, fracassant leurs bateaux sur les récifs où ils seraient dévorés par ces enchanteresses. Mais tout cela ne sont que des légendes après tout, mais croyez-vous à tout ça ? Pensez réellement que de telles créatures puissent vivre et respirer sous l’océan ? Si oui, laissez-moi vous racontez mon histoire, l’histoire de ma vie. Au faite juste au passage mon nom est Mélody et je suis une Sirène.

Par où commencer, je n’ai pas envie de faire le vieux cliché, faire du comme tout le monde parler de mon enfance, ensuite de mon adolescente jusqu’à aujourd’hui. Non, j’ai envie de parler d’une chose qui me semble capital dans ma vie : mon rêve. Je rêve d’être un humaine, d’avoir des jambes pour pouvoir courir sur l’herbe vert qui semble si douce, pouvoir sauter par-dessus la plus haute des barrières avec faciliter, pouvoir danser de magnifiques danses dans les bras d’un humain qui serait le roi de la danse, pouvoir tout simplement flâner sur terre dans des magasins humains et pouvoirs toutes ces merveilles objets qu’ils font par millier. J’avoue que nombreux humain voudrait être sirène pour pouvoir nager, respirer sans problème sous l’eau et parler avec toutes les créatures qui vivent sous l’eau. Je serais prêt à échanger ma vie contre n’importe quel humain, moi je veux tout simplement avoir des jambes et pouvoir enfin réaliser mon rêve.

Voilà une chose qui était important à savoir sur moi, parlons maintenant un plus des sirènes, tout comme les légendes nous sommes des créatures très belles donc que vous soyez homme ou femme vous êtes un peu obliger de vous l’avouez à vous-même. Il est vrai que souvent les sirènes attirent la jalousie plus facilement avec les femmes humaines. Nous sommes des personnes qui avons une voix dés plus belle, notre chant est un cadeau de Dieu, il ensorcelle plus les hommes que les femmes, les faisant succomber tout doucement à notre charme. On pourrait dire que cela nous permet d’éviter de conflit avec eux qu’il oublie le combat et n’écoute plus que notre voix si douce qui fait tomber leurs gardes d’un seul coup. Bien sûr nous n’avons pas que le chant, nous sommes aussi très douer pour la musique, mettez nous n’importe quel instrument dans la main et nous vous en jouons magnifiquement bien tels des professionnels. Si vous savez combien de concert vous ratez, alors qu’il ne se trouve qu’à quelques mètres sous l’océan. Au faite je vous rassure on ne mange pas les humains, ce n’est qu’un vieux ragot qu’un enfant a dit un jour qui c’est propager de jours en jours, de ville en ville jusqu’à faire partir de la légende, voilà pourquoi nous somme si peu nombreuse et pourquoi vous envoyez très rarement.

Trêve de blablatage sur le monde des sirènes, parlons enfin de moi et de ma vie. Moi qui suis l’ainé d’une famille nombreuse comptant sept enfants dont quatre filles dont moi et deux garçons, pour information il existe des hommes sirènes mais ils sont encore plus rares que les sirènes femelles, dont presque inexistant pour faire plus simple. Je n’ai que ma mère comme parents mon père serait partie un jour à la recherche du plus grand trésor du monde, enfin c’est ce qu’il a dit à ma mère un jour, je ne fais que répéter ce qu’elle m’a tout simplement dit. Bien que presque tout le monde pourrait croire que mon père est mort, moi et ma mère avons la certitude qu’il vit et qu’il est quelque part dans ce monde en vivant des aventures passionnante qu’un jour il nous racontera en étant tout fier de ses exploits.

Que puis-je vous dire sur moi ? Je peux tout simplement dire que mon plat préfère est le corail rouge, je n’ai rarement la chance d’en manger, c’est souvent algues verte au menu. Je peux vous dire que je vis dans une grotte entourer de tonnes de coraux de toutes les couleurs, mon lit est une pierre dés plus lice, polis par la mer et mon oreiller est un boule de vieux vêtements que les humains porte. Il faut dire qu’il jette tellement de truc dans l’eau ce qui met souvent ma mère en colère, mais moi au contraire me fait sourire. Il faut dire que le monde humain me fascine toutes ses choses qui fabrique sont vraiment extraordinaire, il est vrais j’ignore le plus souvent l’utilité des objets que je récolte et que je mets en lieu sûr dans une grotte rien qu’à moi, loin des yeux en colère de ma mère et des yeux curieux du reste de ma famille. Une grotte dont seul moi connait son emplacement, bien caché derrière d’immenses algues vertes et d’énormes rochés. A quelques battements de nageoires de ma maison sous l’eau. Cette endroit est remplie de ce j’appelle mon trésors, j’y mets presque tous les objets que font tomber dans les humains que ce soit par inadvertance, par leurs volonté ou encore à cause d’un bateau qui à couler après une bataille. Dans ma grotte, tout en haut, se trouve un passage qui me permet de me retrouver sur une plage, bien sûr est bien cacher lui aussi, derrières des buissons. De cette endroit je passe mon plus clair de mon temps à observer les humains, la nageoire dans l’eau et le reste du corps en dehors. Il faut dire que si je ne suis pas en train d’observer les humains, je fouille les fonds de la mer à la recherche de quoi compléter ma collection d’objet fabriqué par les humains.

J’avais la belle vie ou presque, il faut que quelque chose me hanter, un rêve, un rêve si étrange qu’il me semblait presque souvenir. Je me voyais enfant, un enfant âgés d’environ cinq ans, marchant ou j’ai bien dit marchant dans les rues d’une très iles. Je tiens la main d’un homme, très grand et très muscler, c’est peut être une impression car comparer à lui je suis une naine. Il me parle de tout, il me fait rire, il me goutter des trucs et puis il me dit adieu sur le bord d’un quai. Il enlève de sa ceinture une dague qu’il avait accroché, il me la tend, je la prends doucement dans mes mains, il me fait un bisou sur le front, des larmes coulent de mes yeux et des siennes. Il part en courant, monte sur un bateau, il me fait des signes au loin, je me mets à courir après le bateau et … Je finis par tomber dans l’eau.

Je fais ce même rêve depuis mes cinq-six ans, ma mère me dit que ce n’est qu’un rêve, mais moi je sais qu’il y a autre chose la dessous. Cette dague dont chaque détail est inscrit au fond de mon esprit, c’est si précis que sa en devient presque effrayant. Je me demande si l’homme que je vois en rêve n’est pas mon père, mais le problème dans mon rêve ce sont ces jambes que j’ai à la place d’une nageoire normal de sirène. Il se trouve que bientôt je trouva la réponse à toute ses questions et au passage je réalisa enfin mon rêve que je croyais impossible.

Le jours de mes dix-neuf ans, ma mère me tendis une dague qui était la même qui apparaissait dans mes rêves. Elle me dit que c’est mon père qui me l’a offert, juste avant de partir à la recherche du One Piece. Elle me dit que mon rêve, n’en était pas un, c’était tout simplement un vieux souvenir que mon esprit ne voulait oublier. Avant que je ne pose aucune question, elle me dit tout simplement que une fois la nageoire complètement sortie de l’eau, des jambes humaines se formait à la place. Pas une seconde de plus que j’attendue, je nagea le plus possible vers la plage desserte, je me hissa hors de l’eau complètement, j’attendue un peu avant de voir apparaitre de magnifique jambes humaines. Je me rappelle avoir pleuré en voyant ça, je me rappelle avoir touché mes jambes milles et une fois du bout des doigts.

En voyant ses jambes humaines, j’étais décider d’une chose, je retrouverais mon père coute que coute. Même si cela devait me prendre des années, il faut dire que pour l’instant mettre un pied devant l’autre et assez difficile pour moi. Et il fallait que je passe inaperçu parmi tous ses humains ce qui est deux fois plus dur dans mon cas car je ne connais rien de leurs manières et à leurs s’habitude.

Voilà c’est ici que j’arrête de parler de moi et rien que de moi, car la suite c’est ici que ça commence avec vous !