Rencontre entre créature marine (P.V : Arlong)

Le silence, en ce beau matin le silence régnait au fond de l’océan, et là se trouvait Mélody, notre jeune sirène endormit parmi d’immense algues verte avec lesquels elle c’était recouverte. Voilà quelques jours qu’elle était partie à la recherche de son père et pour l’instant elle n’avait trouvé aucun indices qui aurait pu lui dire où il se trouvait. Alors en attendant elle errait un peu sur différentes iles, marchand de long en large à la recherche de quelque chose, un signe quoi. Enfin marche… Le mot était assez… Il faut dire qu’elle ne marchait pas vraiment, elle essayait plutôt, elle avait toujours du mal à se faire à ces deux nouvelles jambes une fois sur terre. Alors le plus souvent, elle se contentait de faire le tour dès l’ile sous sa forme de sirène. Mais bon arrêtons les bavardages quelques peux inutiles car Mélody c’est réveiller et se dirigeait en pleine forme et bien réveiller vers une ile qu’elle avait aperçu de loin la veille. Cette ile s’appelait : île de Micqueot. Inconnue pour Mélody, elle ne savait même pas qui y vivait, visiblement de loin elle l’avait vue habiter, elle se doutait que la présence des humains sur cette île. C’est pour ça qu’elle s’en approcha discrètement, faisant le tour sans que personne ne remarque sa présence avant de hissait sur une plage desserte apparemment. Elle qui pensait pourvoir s’y poser deux secondes pour que sa nageoire deviennent des jambes, elle n’eut pas du tout le temps.

- AIH

Elle ne put s’empêcher de crier de douleur, des personnes avait jeté des bouts de verres un peu partout sur la plage et un morceau à fait une coupure sur la queue de poisson de Mélody, d’ailleurs le bout de verre était coincer et elle n’osait l’enlever, tremblant déjà à cause de la douleur que sa lui provoquait. Elle ne pensait pas sur le coup avoir attiré quelqu’un en criant comme ça, elle ne pensait qu’à la douleur, contre laquelle elle ne put s’empêcher de crier :

- Stupide humain qui laisser trainai ce genre d’objet partout…

Mélody poussa un soupir de désespoir, voyant sa blessure se mettre à saigner

- C’est malin je saigne… Aih

Elle entendit des pas non loin d’elle, se retourna et regarda la personne dont elle avait les pas qui n’était nul autre que ….

... Arlong. Il passait par la, durant une mission bien sur, lorsqu'il s'éloigna de ses collègues Marines pour aller jeter un coup d'oeil à l'endroit ou il avait entendu du bruit. Il vit alors une jeune et belle sirène qui s'était blessée la nageoire a cause de morceaux de verre retrouvés par terre. Arlong accusa tout de suite ses collègues de la marine, qui bien sur, n'avaient aucun respect de la nature, et qui jetaient leurs bouteilles de rhum un peu partout sur le sol. L'équipe qu'il escortait était complètement saoul. Patrouiller en ville était certe une mission assez peu importante: mais ce n'était pas une raison pour aller vider la réserve de rhum de la première taverne du coin. Bref, le seul membre sobre de la troupe, alla parler à la jeune femme-poisson:

"Laissez tomber mademoiselle, ce ne sont que de pitoyables vermines d'humains qui ne savent pas ce qu'est le respect de la nature. Si seulement on m'avait donné des collègues un peu plus sérieux. Sinon, votre nageoire, ça va? vous voulez que je vous emmène voir un médecin?"

"Laissez tomber mademoiselle, ce ne sont que de pitoyables vermines d'humains qui ne savent pas ce qu'est le respect de la nature. Si seulement on m'avait donné des collègues un peu plus sérieux. Sinon, votre nageoire, ça va? Vous voulez que je vous emmène voir un médecin?"

Le regarde de Mélody c’était comme perdu dans celui d’Arlong, un homme poisson se tenait devant elle et elle avait du mal à y croire. Elle n’en avait jamais vue en vrais, sa mère lui en avait beaucoup parlé disant beaucoup de bien sur eux. Mélody avait toujours voulue en voir un au moins en chair et en os et voilà que l’un d’entre eux, se tenait devant elle. Elle a envie de se pincer pour vérifier qu’elle ne rêvait pas, mais la douleur dans sa nageoire lui était amplement suffisante. D’ailleurs il lui avait posé une question au sujet de sa blessure.

- Un médecin ? Non, je pense que sa devrais y aller…

Mélody passa une main sur sa blessure, prit le bout de verre entre ses doigts prit une grande bouffer d’air avant de tirer d’un coup sec pour l’enlever mais rien à faire le bout de verre ne bougea pas d’un pouce. Tout ce qu’elle gagna c’est de saigner encore plus et avoir encore plus, elle s’en mordit les lèvres de douleur tellement sa lui faisait mal.

- Finalement peut être qu’un médecin me ferait du bien. A moins que tu arrives toi-même à retirer ce bout de verre. Ensuite il me suffirait de faire un bandage avec des algues bien solide et d’ici quelques jours ça ira mieux, normalement.

Mélody se sentait tout à fait à l’aise devant cet homme poisson qui lui était inconnue, peut-être parce que tous les deux étaient des créatures de la mer qu’elle avait l’impression de le connaitre depuis si longtemps.

Arlong un peu géné dit:

"Ouhla, je mis connais pas trop en médecine, mais je crois savoir ce qu'il te faut..."

Il partit alors à quelques dizaines de mètres pour aller rejoindre ses compagnons de la Marine. Il parla alors avec eux quelques secondes, puis revint aussitôt vers la sirène accompagné de 2 Marines. Il dit alors:

"Voila, je t'ai apporté un médecin. C'est un des seuls membres de notre faction qui ne soient pas ravagés par l'alcool. Une chance que ce soit le médecin, héhé."

Arlong dirigea alors son regard en direction de l'autre homme qui l'escortait. Dailleurs il avait l'air, un peu bizarre, comme s'il était dans un autre monde. Il avait cependant bien du mal a tenir debout. L'homme poisson reprit:

"... et celui ci c'est l'imbécile qui a laissé trainer sa bouteille par terre."

Il projeta alors un grand coup derriere la tête du Marine et lui hurla a la figure:

"Fais tes excuses a la demoiselle immédiatement sale misérable humain!"

Pendant ce temps la, le médecin un peu stressé a cause du comportement d'Arlong, retira le morceaux de verre de la nageoire de la jeune sirène, avec précaution et rapidement, puis désinfecta a l'aide de matériel qu'il disposait dans sa petite boite d'infirmier. Puis il se positionna vers Arlong en versant des goutes de sueur, et en montrant sa peur. Celui ci lui donna une petite tape sur l'épaule et lui fit comprendre qu'il pouvait disposer. Le médecin repartit alors a toute vitesse rejoindre sa troupe, soulagé. Mais Arlong légerement énervé pris l'homme ivre par le col de sa chemise et le projeta au sol brutalement:

"Saleté d'humains. Vous savez ce qu'est le respect de la nature?... Faites en ce que vous voulez mademoiselle."

Arlong se dirigea alors vers son groupe, tout en marchant les mains dans les poches...

Tout d’abord l’homme poisson dit à Mélody qu’il ne connaissait pas trop en médecine, c’est pour ça qu’il partit chercher un médecin qui la soigna. D’ailleurs en revenant l’homme poisson était accompagner de deux personne, l’un était le médecin, l’autre une personne de la marine qui ne tenait pas sur ses deux jambes. Ce qui mit l’homme poisson en colère car il envoie son poing dans la tête de l’homme en lui criant :

"Fais tes excuses à la demoiselle immédiatement sale misérable humain!"

Une phrase qui touche beaucoup Mélody, elle fit tout pour ne rien laisser paraitre, laissant le médecin humain la soigner, un peu stresser qu’un humain la touche ainsi mais bon si c’est l’homme poisson qu’il l’avait emmené, elle avait moins peur. Elle ne soufra presque pas quand il la soigna, elle trouva même qu’il l’avait soigné vite, il avait sans doute envie de partir très vite car il craignait l’homme poisson. D’ailleurs une fois partie, l’homme poisson toujours en colère contre l’humain qui devait surement avoir bue le prit par le col, le jetant de toute ses forces sur le sol à coter de Mélody.

"Saleté d'humains. Vous savez ce qu'est le respect de la nature?... Faites en ce que vous voulez mademoiselle."

Mélody regarda quelques secondes l’homme à coter d’elle, mais ses yeux se posèrent de nouveau très vite sur l’homme poisson qu’elle voyait s’éloigner peu à peu et là des mots sortirent de sa bouche sans qu’elle sans rende compte :

- Non…. ATTENDEZ

Mélody sentit le rouge monter à ses joues, sentant une légère chaleur qui sent dégageait, elle rougissait tout simplement. Elle ne put s’empêcher de mettre ses mains sur ses joues comme un réflexe naturel chez elle. Le mot était sortie tout naturellement de sa bouche, elle n’avait pas envie qu’il parte, pas aussi vite, elle venait tout juste de le rencontrer et voilà qu’elle ne voulait plus qu’il parte.

- Ne partez…. Restez encore un peu…

Mélody se sentait honteuse et confuse, elle se disait qu’à tous les coups il la prenait pour une folle qui devait avoir passé trop temps dans l’eau douce et pas assez dans l’eau de mer. Elle avait la main tendue dans la direction de l’homme poisson comme si elle essayait de l’atteindre.

- Sa… Sa fait trop longtemps que je n’ai pas vue de créature marine… Et puis je n’ai jamais rencontré d’homme poisson…

Ses paroles était quelques peu bafouiller, elle avait un peu de mal à parler et puis elle commençait à rougir de plus en plus ne sachant trop pourquoi. Elle baisa les yeux comme cherchant que quelqu’un viennent à son aide.

- Tu… Tu veux bien rester encore un peu ?

Elle leva les yeux vers lui, un timide sourire sur ses lèvres, des yeux suppliant un peu qui voulait passer encore un peu de temps avec lui.

- "Non…. ATTENDEZ"

dit la jeune sirène. Arlong se retourna aussitôt et lui répondit par un simple:

"Mmh?"

la demoiselle reprit:

- "Ne partez…. Restez encore un peu…"

C'est alors qu'Arlong se mit à sourire. La fille continua:

- "Sa… Sa fait trop longtemps que je n’ai pas vue de créature marine… Et puis je n’ai jamais rencontré d’homme poisson… Tu… Tu veux bien rester encore un peu ?"

Par contre, à ce moment là, il fit une tête bizarre et lui répondit:

"Vous n'avez jamais vu d'homme poisson?... mais vous êtes une femme poisson... c'est louche, non?"

Puis, il réfléchit un instant et s'adressa à ses coéquipier qui était un peu plus loin. Il leur hurla:

"Oh les gars, je prends ma pause. Annoncez ça au chef ok? vous trouverez bien quelque chose à lui dire, non? allez, à plus tard!"

Mais les Marines n'étaient pas de son avis et se vexèrent légèrement:

"Bon Arlong, c'est pas parce que t'es un homme poisson qu'il faut que tu te crois tout permis. On va se faire tuer par le colonel si on lui dit que tu fais la forte tête avec nous..."

A cet instant, Arlong leur lança son regard qui tue, qui lança un silence total sur toute l'île. C'est à ce moment la que le groupe de soldats décidèrent de partir, sans un mot.

"Voila, je crois que j'ai la permission de rester..."

"Vous n'avez jamais vu d'homme poisson?... mais vous êtes une femme poisson... c'est louche, non?"

- Je suis né dans un petit coin perdu de l’océan ou j’ai grandi seulement avec ma famille, ne voyant jamais d’autre sirène et encore moins d’homme poisson.

Mélody soupire en pensant à ça, elle qui aurait préfère vivre entourer par toute les créatures marines, malheureusement elle était né dans un coin paumer avec presque personne.

"Oh les gars, je prends ma pause. Annoncez ça au chef ok? Vous trouverez bien quelque chose à lui dire, non? Allez, à plus tard!"

A ces mots Mélody commença à sourire continuant à observer la scène.

"Bon Arlong, c'est pas parce que t'es un homme poisson qu'il faut que tu te crois tout permis. On va se faire tuer par le colonel si on lui dit que tu fais la forte tête avec nous..."

Mélody se retenu d’éclater de rire en voyant les humains terrifier devant Arlong.

"Voilà, je crois que j'ai la permission de rester..."

Un immense sourire se fit sur les lèvres de Mélody, elle ne pouvait s’empêcher d’être heureuse sur le coup, tellement heureux qu’elle ne put s’empêcher de se lever, elle arrivait à tenir debout un peu sur nageoire de sirène, mais bon elle n’allait loin comme ça. D’ailleurs elle voulut se rapprocher de l’homme poisson mais elle oublia complètement l’être humain allonger sur le sol un peu saoul, il la fit trébucher sur l’homme poisson, la tête de Mélody la première sur le torse de l'homme poisson.

- Heu…. Désolé… J’ai…. J’ai trébuché sur l’humain.

Elle ne put s’empêcher de rougir de plus belle, sentant le torse d’Arlong contre son visage, elle se dépêcha de se relever et pour ceux-là elle dut prendre appuis sur lui, en mettant ses mains sur son torse et oui toujours son torse. Elle se releva un peu trop vite car elle retomba aussi sec mais cette fois-ci sur le sable fin. Mélody fit un sourire gêner à l’homme poisson

- Ce n’est pas mon jour on dirait…

Elle regarda l’homme poisson, essayant d’oublier de ce qui venait de ce passé en lui demandant son nom :

- Au faite je m’appelle Mélody et toi ?

Arlong vit la sirène qui tomba sur lui. Il était un peu géné a ce moment là:

- Heu…. Désolé… J’ai…. J’ai trébuché sur l’humain.

Elle retomba encore un fois, mais cette fois ci, sur le sol.

Ce n’est pas mon jour on dirait…

Elle changea totalement de conversation, tout d'un coup:

- Au faite je m’appelle Mélody et toi ?

Mais avant de lui répondre Arlong voulu régler une petite affaire et pris encore une fois l'homme saoul par le col.

"Encore toi misérable? tu ne fais que causer des problèmes"

Puis il le lança comme un vulgaire javelot en direction de ses coéquipiers Marines, qui tombèrent alors tous sur le coup, comme un strike dans une partie de bowling. L'un deux dit alors:

"Rraah, ARLONG!"

Arlong reprit:

"Ramenez ça avec vous! on en veut pas." puis se tourna alors vers la jeune demoiselle et continua: "Voila... enfin tranquilles."

Un des Marines à terre, en colère, reprit aussitôt:

"Tu vas avoir de gros ennuis, Arlong, je te le dis!!"

Il souria de son plus grand de tout les sourires, et ricana bêtement:

"Hinhinhin, parce que vous non? vous croyez que c'est correct de partir en mission completements plein?"

Puis le Marine, se frottant la tête, lui répondit:

"Haha, on plaisentait, on a même déjà oublié. C'était quoi le sujet de conversation? haha..."

Les Marines se mirent alors, enfin à partir.

"Bon cette fois ci on est débarrassés, héhé. Ils ne savent pas qu'il faut faire preuve de respect fasse à une aussi jolie créature... euh, désolé, c'est sortit tout seul... et euh... tu m'a demandé mon nom? bon, je vais te le donner alors, vu que tu m'a donné le tiens, Mélody. Je me nomme Arlong, je fait partit de la Marine, comme les vermines qui m'accompagnaient. Mais, je peux te poser une question à mon tour? pourquoi voulait tu vraiment tant que je reste avec toi?..."

[H.J : Désoler c'est un peu court]

Mélody regarda la scène avec un sourire aux lèvres, admirant la force qu’avais l’homme poisson et la façon dont il arrivait à se faire respecter. Une fois qu’il réussit à faire partir tous les personnes de la Marine, il se tourna vers elle et lui dit :

"Bon cette fois ci on est débarrassés, héhé. Ils ne savent pas qu'il faut faire preuve de respect fasse à une aussi jolie créature... euh, désolé, c'est sorti tout seul... et euh... tu m’as demandé mon nom? Bon, je vais te le donner alors, vu que tu m’as donné le tiens, Mélody. Je me nomme Arlong, je fais partit de la Marine, comme les vermines qui m'accompagnaient. Mais, je peux te poser une question à mon tour? Pourquoi voulais-tu vraiment tant que je reste avec toi?..."

- Et bien….

Mélody avait bien du mal à répondre, pourquoi ? Et bien tout simplement parce que le fameux Arlong lui avait dit qu’elle était une jolie créature. Elle c’était sentit toucher parc ce compliment, rougissant un peu et se sentant, elle ne sait pas trop pourquoi, heureuse. Mais sa joie se calmèrent très vite quand elle se rappela qu’il avait dit, qu’il faisait partie de la Marine, elle se rappela ainsi sur le coup que elle était une Pirate. Une vague de tristesse l’envahit peu à peu, elle voulut pleurer sans trop comprendre pourquoi, elle voulut lui cacher tout sa mais sans comprendre pourquoi le cacher.

- J’ai voulus que tu restes avec moi car….

En fait elle ne savait pas trop pourquoi, les mots étaient sortis tout seul.

- Je ne sais pas vraiment, quand je t’ai vue partir, j’étais bizarrement triste… Je ne voulais pas que tu partes tout de suite… Je voulais encore te parler… Ça doit te sembler bizarre, non ?

Mélody lui fit un doux sourire.

[HRP: T'inquiète, tu es dans les normes^^... dailleurs moi non plus j'en ai pas fait des masses]

- Et bien…. J’ai voulus que tu restes avec moi car….

Arlong sentait de l'hésitation dans les paroles de Mélody:

- Je ne sais pas vraiment, quand je t’ai vue partir, j’étais bizarrement triste… Je ne voulais pas que tu partes tout de suite… Je voulais encore te parler… Ça doit te sembler bizarre, non ?

Arlong se mit alors a sourire:

"Haha, non au contraire. Je sais ce que tu ressens. Si tu savais comme c'est agréable de voir quelqu'un de la même espèce que soit, on se sent beaucoup mieux. Haaa, finalement j'ai bien fais de me séparer des autres, ça va me faire le plus grand bien de discuter un peu, pour faire plus ample connaissance. Dis moi tout: que fais-tu dans la vie? qu'est ce que tu fais par ici?... je veux tout savoir."

L'homme poisson, remplit de bonheur écouta avec la plus grand attention, tout en souriant...

"Haha, non au contraire. Je sais ce que tu ressens. Si tu savais comme c'est agréable de voir quelqu'un de la même espèce que soit, on se sent beaucoup mieux. Haaa, finalement j'ai bien fais de me séparer des autres, ça va me faire le plus grand bien de discuter un peu, pour faire plus ample connaissance. Dis-moi tout: que fais-tu dans la vie? Qu’est-ce que tu fais par ici?... je veux tout savoir."

Mélody se sentit moins honteuse quand il dit qu’il ressentait la même chose, souriant devant le sourire que lui faisait Arlong.

- Par où commencer ?

Mélody leva les yeux vers le ciel, admirant le beau ciel bleu qui se trouvait au-dessus de leurs têtes, elle prit une grande inspiration avant de dire.

- Bon tout d’abord je suis à la recherche de mon père, je ne l’ai plus vue depuis que je suis toute petite, je n’ai qu’un vague souvenir de lui. D’ailleurs le souvenir que j’ai de lui, a pour longtemps hanter mes nuits sans que j’en connaisse la raison. Depuis je sais que mon père m’attend quelque part dans ce vaste monde, ma mère m’a dit qu’il est à la recherche du one piece comme n’importe quel pirate. Et oui mon père est un pirate donc …

Mélody eut un long moment d’hésitation, avalant avec difficulté sa salive ayant les mots qui ne voulait pas sortir de sa bouche mais l’envie de dire la vérité était plus forte que tout.

- En toute logique bien sur… Je suis…. Une pirate….

Mélody baissa les yeux, se disant qu’elle venait de tout gâcher, elle sentit envahis par la tristesse, les larmes aux bords des yeux, elle avait peur de la réaction de l’homme poisson.

Arlong écoutait attentivement les paroles de Mélody. Elle racontait qu'elle était à la recherche de son père, qui lui était à la recherche de One Piece. Jusqu'à ce moment; où elle précisa que celui-ci était un pirate et par conséquent, elle aussi l'était. A cet instant, Arlong fit un pas en arrière, surpris. Il fallait bien que quelque chose gache ce moment si agréable à ces yeux. Il avait ordre d'arrêter tous les pirates qu'il croiserai. Seulement là, il ne pouvait pas, il n'en avait pas envie. Mais il ne savait plus quoi faire non plus: il était dans une impasse. Tous ses collègues étaient témoins de la petite discute avec la sirène, seulement, si on apprenait qu'Arlong n'avait pas fait son travail de Marine, il se ferait sûrement expulser de la Marine. Et s'il l'arrêtait il vivrait malheureux jusqu'à la fin de son existence en ayant gaché la vie d'une de ses consoeurs. Il ne fallait juste que ça ne sache pas:

"Euh... très bien, tu es une pirate... c'est... très génant pour moi... je devrais être dans l'obligation de t'arrêter, mais vu que tu es gentille je ferme les yeux."

Puis, Arlong repris comme s'il ne s'était rien passé, en ricanant bêtement:

"Continue, c'était une histoire très interressante, héhé, vas-y je t'en prie."

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