Hep! Quoi? Nan rien... (pv: Marie Turner)

Water Seven... Situé sur GrandLine, il s'agit de la plus grande ville portuaire du monde et dont les chantiers de bateaux sont les plus réputés. Nouvelle mission, nouvelle endroit, habitude, routine... Quelque chose que je déteste particulierement. Mains dans les poches, gantés, je déambule tranquillement dans les rues de la ville. Les magasins ouverts ne m'attirent pas particulierement mais un tour du coté des chantiers peut toujours se faire pour voir de quoi cela a l'air.

Sur le chemin, je repensais a ma mission. Le Cipher Pol avais entendu parler d'un regroupement de révolutionnaire dans la ville et je devais le dénicher. Pas d'autre info... Pour les missions sans informations, il fallait que ce soit moi qui me la coltine... Enfin si, j'en avais une. Il y avait une grande figure parmis les révolutionnaires présent, une certaine... Marie Turner, appellée aussi, l'Ange de la Mort. Allé savoir pourquoi... Bizarrement, ce surnom sonnait dur dans ma tete et je sentais que ce n'était pas pour rien qu'on lui avait attribuer...

J'arrivais au dock 1 quand je finis le récapitulatif de ce que je savais. Je m'appuya sur le rebord du chantier et observa le travail des pros en cherchant des infos sur ma mission... Je repéra de nombreuses choses bizarres mais sans plus. Ha si, une femme avec de longs cheveux blancs...

Marie était sur son bateau, pas loin de l’île de Bartigo où se trouvais le quartier général de la révolution. Marie ne pouvait pas trop s’éloigné, elle ne le devait pas. Enfin bref, elle était dans sa cabine quand elle aperçut par le hublot une île spectaculaire. Elle reconnu la célèbre île de l’eau, Water Seven. Elle se leva en se rappelant quelque chose qu’elle devait faire et qu’elle avait trop longtemps oubliée. Elle sortit alors et demanda à la personne dirigeant le bateau de se diriger vers Water Seven sans tarder.
Arrivé dans le port de Water Seven, elle remarqua qu’il n’y avait aucune garde ni marines dans le coin. Se disant qu’il devait être occupé autre part elle descendu tranquillement. Cependant, après quelque pas, elle remarqua où elle se trouvait. Une vision lui vint alors en tête mais la repoussa. Elle n’avait pas le temps de se remémorer les événements du futur, surtout les tragiques. Elle continua donc sa route sans se retourner avec un pincement au cœur. Marie arriva au cœur de la ville. Elle savait très bien se qu’elle cherchait et ce ne serai surement pas dure a trouvé. Enfin, apres quelque minutes, elle trouva se qu’elle cherchait…

DEUX SEMAINE PLUS TARD

Marie avait commencé. Les révolutionnaires de cette ville était assez nombreux et avait réussi a collecter pas mal d’information au fils du temps. Surtout que ca faisait longtemps qu’elle n’avait pas été récolté. Cependant, pendant ces deux semaine, Marie avait du s’occuper de certaine choses...ou de certaine personnes. Bref, elle était à la recherche d’une personne spéciale au Dock 1. Elle le parcourait, quand elle sentit un regard dans son dos. Sans se faire remarqué elle changea de direction pour faire en sorte de pouvoir voir qui l’observait. Elle aperçut alors un homme plutôt grand, Plutôt musclé avec des cheveux blond coiffé un peu à l’ancienne et des yeux bleus. Marie sentait, dans sa façon de marcher ou son regard perçant, il n’était pas sans danger. Pourtant, ce n’était pas un pirate, elle pouvait le deviner, ni un marine, il n’avait pas le même aura que ces gens, elle été beaucoup plus puissante. Marie, ne savait pas qui était cet homme, elle se faisait surement des idées sur le regard qu’elle sentait peser sur elle, mais elle restait prudente. Elle reprit son chemin, tout un gardant son esprit et un œil tourné vert cet homme, dont elle n’avait pas du tout confiance.

La femme dut sentir mon regard sur elle car, quand elle revint, elle me fixait intensément, me détaillant sous toutes les coutures. Je fis de meme. De long cheveux blancs, des vetements noirs, genre gothique. Gothique... C'est quoi ce mot? Je sais meme pas ce que sa veut dire... Enfin bref, je finis par arriver a regarder ces yeux Nos regards se croiserent et malgré la beauté de ces yeux bleues claires, je ressentis une gigantesque pression.

Je n'osais détacher mon regard du sien, de peur de ne plus pouvoir rien voir d'autre. Je sentais une grande puissance en elle dont je n'avais jamais rencontré chez d'autres auparavent. Cela créait en moi un mélange de peur et d'exitation. Pouvoir me battre contre elle, qu'elle soit amie ou ennemie, serait pour moi un moyen de plus de m'améliorer! Pourtant, me battre au milieu de Dock populaire ou des Marines pourraient débarquer pour interrompre le combat, cela me fit réfléchir a deux fois. Je décida donc seulement de l'observer, pour en apprendre un peu plus sur elle.

Elle garda un oeil sur moi tout en continuant son chemin. Vu qu'elle s'éloignait, je la suivit d'une maniere peu commande. En sautant d'un Soru, j'atteris directement sur le toit d'une maison proche. Ne la perdant pas de vu, je continua de la filer dce cette maniere, oubliant totalement ma mission...

Marie continuait son chemin sans pourtant baisser sa garde. L’homme qu’elle gardait à l’œil avait disparut d’un coup sans que Marie puisse voir l’endroit où elle allait. Cependant, elle savait qu’il l’observait encore, sentant toujours son regard braqué sur elle. Cela la mettait plutôt mal allaise, pas qu’elle ait peur, loin de la, mais il l’observait, elle ne savait pas où il était, ni pour quoi il la fixait comme ca ou même qu’il il pouvait bien être. Tout cela lui donnait un sentiment d’impuissance qu’elle détestait par-dessus tout. Elle continuait à marcher tout de même, elle devait finir ce qu’elle était venu commencer.

Marie : * il me suit toujours, mais je ne peux pas retarder plus ce que j’ai à faire, je l’ai déjà trop fait attendre. Si jamais je ne le trouve pas aujourd’hui, je vais le rater, et il me les faut absolument.... *

Marie accéléra le pas, il n’était pas très passiant et Marie le faisait attendre depuis déjà une semaine, elle savait que pour l’instant il n’était pas partis par peur plus qu’autre chose, mais qu’il ne resterait pas indéfiniment à un endroit qui le mettait en danger. Arrivé à la limite de Dock 1, Marie sentait encore se point sur ses épaules mais s’efforça de l’ignoré pour pouvoir se concentré. Elle passa la porte du dernier Dock sans encombre car elle avait fait en sorte que les gardes de cette porte soient occupées ailleurs à ce moment précis.
Marie le voyait, il était la, juste devant elle à attendre, elle s’avance dans sa direction d’un pas assuré et quand il l’a vit il se redit. Elle s’arrêta devant lui et ils échangèrent quelque mot. Marie tendis alors la main et l’homme y déposa une petite chose. Elle la rangea vite dans une de ses poches et après avoir formulé les mots de la fin, elle s’en alla sans un regard en arrière.
Quand elle se retrouva dans une petite rue qui lui servit de raccourcit, elle sentit le regard de l’homme encore plus pesant sur ses épaules. Elle se retourna d’un coup, mais n’aperçut rien à part peu être une zone floue. Elle savait qu’il était la, pourtant elle ne pouvait pas le situer. Elle posa une main sur la poignée de son sabre, prête à le dégainer a toute instant. Mais que pouvait-il bien lui vouloir… ?

Je la suivais toujours avec ce meme sentiment de frénésie, d'envie de me battre. On arriva a la limite du Dock et il me sembla pas qu'elle m'est repéré. Je me posa donc a terre pour passer la porte des limites sans attirer l'attention sur moi. Les gardes ne semblaient pas vraiment préoccupé par le flot de personne passant et cela fut parfait pour moi. Je m'avanca donc, mains dans les poches, surveillant toujours la femme au cheveux blancs. Et ce que je vis me réjouit encore plus...

Elle s'approcha d'un homme. Je vis qu'ils échangerent quelque mots avant qu'elle ne tende la main vers lui. L'homme y déposa un objet qu'elle m'y rapidement dans sa poche avant de partir. Si je n'était pas informé de ce qu'il se passait ici, j'aurais pu croire a un geste anodin. Mais non, je venais belle et bien de voir deux révolutionnaires. Sans doute sans importance, je vis que l'homme en rejoignit un autre. Voulant savoir ce qu'il se racontait, je fis un Soru zigzaguant pour ne pas qu'il me repere et passa rapidement a coté d'eux, n'entendant qu'une partie de la phrase ''... remis a Turner...''

Je finis ma course en haut d'un batiment et m'agenouilla pour réfléchir a nouveau. Celle au cheveux blancs... Il s'agissait bien de Marie Turner. Un sourire démoniaque naquit sur mon visage et je repris mon pistage. Au détour d'une ruelle, je me prépara a l'aborder. Comme si elle l'avait sentit, elle se retourna, main sur la garde. Mon sourire disparut laissant place a un visage sérieux. J'avais en bas de moi, une adversaire puissante, plus que je n'avais rencontré jusqu'a maintenant. Un frisson d'excitation me parcourut et je tendis mes muscles. Sautant du toit, je fis un métalium sur mes jambes que j'avais préalablement recourbés.

J'atteris non loin devant elle, créant un impact autour de moi et soulevant un léger nuage de poussiere. Me relevant lentement, j'enleva mes gants et les remplacants par mes mitaines cloutés. Je lui fis ensuite face. D'une voix froide, je me lanca dans un monologue.

- Je pensais que cette journée allait etre inutile comme la plupart ses temps-ci. Mais non, j'ai réussi a faire d'une pierre deux coups, on dirait. En plus d'affronter un puissant adversaire, je vais mener a bien ma mission. J'esperes que tu vas me distraire suffisament pour la journée. En tout cas...

Je ne pus réprimer un sourire meurtrié sur mon visage et je tendis mon bras en arriere. Mes dernieres paroles allairent a son encontre.

- Ravi de te rencontrer... Ange de la Mort...

Je ramena mon bras devant moi, en décrivant un arc de cercle de haut en bas. Une lame de vent partit verticalement vers elle. La base traversa le sol comme du beurre, ne la ralentissant pas. Je chuchota ''Ran Kyaku'' en observant la vague filer droit.

Marie était la, attendant sa main sur la poignée de son sabre. Quand elle entendit un bruit infime, elle se retourna et fit face à un homme. C’était l’homme qui l’observait depuis un moment.hum…alors, elle n’avait pas tors, on la suivait bien. Elle l’observa pendant qu’il mettait des mitaines cloutées à la place de ses gants. Il leva alors les yeux et les fixa à nouveau sur elle. Il commença à dire des choses que Marie eut peine à entendre, comme si il se parlait lui-même. Marie écouta ses paroles, faisant de sorte à en soustraire le maximum d’information possible. Ses soupçons se confirmèrent alors. Il n’était surement pas la pour parler, mais, à ce qui paraissait, pour remplir une mission.

C’est alors que Marie un sourire sauvage, meurtrier sur son visage, puis, elle mis ses bras en arrière. Marie sentis que cela ne prévoyait rien de bon et tira un peu de sa lame. C’est alors, quand disant quelques mots qui lui étaient cette fois adressé, il ramena ses bras en avant, créant une grande et puissante lame d’air. La lame heurta le sol mais ne ralentis pas pour autant. Elle continua sa route à une vitesse vertigineuse, découpant tout sur sa route. Marie après avoir entendus les mots de cette homme, avait deviné qu’il n’était ni un pirate ni un révolutionnaire. Mais ses pensées furent bien vite remplacées par une recherche de solution. La ruelle était très étroite, donc impossible d’éviter par la droite ou par la gauche. Cependant, il y avait bien la solution de haut. Sauté sur les toits lui laisserait plus de place de combattre. Elle plia donc les genoux et sauta sur un côté pour prendre appuis au mur et sauter une fois pour toute. Arrivé sur le toit, elle observa la scène de haut. La lame de l’homme avait coupé la ruelle en deux partis bien distincts. Marie vit ca et soupira, elle avait bien fait d’esquiver plutôt que d’essayer de parer. Elle braqua ses yeux sur l’homme et sortis son sabre.

Marie : S’il veut un combat, alors, il l’aura…

Marie avança une de ses jambes et plia les genoux. Elle mit son bras droit, le bras qui tenait le sabre, en arrière, mais du côté de son épaule gauche. Elle mit ensuite sa main gauche sur la bas de la poignée de son épée, juste sous sa main droite, et la séré assez fort.

Marie: Ittoryu… Kūki no ejji ! (Tranchant d’air)

Marie déplia les bras en les ramenant devant elle, créant une lame d’air qui fonça sur l’homme. Cependant, elle ne lui visait pas exactement, mais plutôt juste en dessous de lui pour le faire monter à son tour. Marie se tenait de nouveau droite, sabre dans la main gauche, la lame pointé vers le bas. Elle le fixait sans siller. Elle lança alors dans sa direction.

Marie : Et toi !... Tu connais mon nom, alors qu’elle ai le tien. Tu à l’air de savoir qui je suis, mais alors, tu auras du savoir, qu’il ne vaut mieux pas m’affronter. Tu aurais du te contenter de me suivre et de me laisser passer mon chemin, mais maintenant, maintenant il est trop tars pour reculer, maintenant, il va falloir faire face à ton lugubre destin…la mort.

Marie, en disant ses dernières paroles, leva la pointe de son sabre, et la pointa droit en direction de l’homme. Elle ne savait pas pour quoi, mais cette homme l’avait cherché et l’avait attaqué, maintenant, il devait le regretter…

L'endroit était mon avantage. La ruelle n'étant pas tres large, il n'y avait pas une grande marge pour manoeuvrer une esquive. Pourtant, elle esquiva la vague parfaitement en prenant appuit sur le mur et en faisant un saut magistral jusqu'au toit le plus proche. Ma lame de vent alla s'écraser contre le mur, un peu plus loin, le perforant sur une bonne longueur. Je leva les yeux vers elle, sourire toujours aux levres. Je l'a vis murmurer quelque chose que je n'entendis pas. Elle prit ensuite une posture de combat, digne des plus grands sabreurs.

Elle tira rapidement son sabre au clair se qui créa une lame d'air similaire a la mienne. Apres annalyse réfléchie de la trajectoire, je recula d'un grand, au cas ou ma marge d'erreur me ferait défault. La vague atterit non loin de moi. Je la regarda de nouveau. Lame vers le bas, elle semblait attendre. Elle finit par me dire

Et toi !... Tu connais mon nom, alors qu’elle ai le tien. Tu à l’air de savoir qui je suis, mais alors, tu auras du savoir, qu’il ne vaut mieux pas m’affronter. Tu aurais du te contenter de me suivre et de me laisser passer mon chemin, mais maintenant, maintenant il est trop tars pour reculer, maintenant, il va falloir faire face à ton lugubre destin…la mort.

Je souris davantage. Son discours m'avais excité un peu plus encore. Jamais je n'avais frissonner a ce point. Quand elle pointa le sabre vers moi, je ne pus me retenir et je savais exactement quoi faire. ''Soru'' murmurais-je. Immédiatement, je me retrouva devant elle, ma joue gauche effleurant la sienne. Du bout des doigts, je lui toucha l'autre moitié du visage et je lui chuchotas a l'oreille.

Trak Ryuketsu, et c'est intentionnellement que je t'ai défié. Au partir du moment ou tu as posé le regard sur moi, je ne pouvais plus me défaire de l'idée de t'affronter.

Ce léger discours ne dura que quelques secondes. Je fit prestement un Geppou pour me reculer et me positionner sur le toit d'en face. Je m'agenouilla et jaugea mes réserves de force vitale. J'avais appris a camoufler l'Aura violette et c'était tant mieux. Les miennes étaient pleines et celles de surplus était remplis a un quart. Je ne lui avais pas retiré beaucoup d'énergie vitale mais suffisament pour qu'elle s'en rende compte. Je n'aimais pas entamer un combat. Je l'observa donc, toujours accroupis, muscles tendus. Allé, attaque si tu l'oses... Tu ne devrais pas me sous-estimer...

Marie était plantée, sans bouger, attendant la réaction de son adversaire. Après ses quelques paroles, elle le vit sourire, elle vit ses lèvres bouger, mais ne put entendre ce qu'il dit. Cependant, elle oublia cela bien vite, quand elle le vit s'arrêter à ses côtés. Sa joue gauche touchant la sienne, ses doigts touchant l'autre côté, il murmura quelques mots à son oreille.

Trak : Trak Ryuketsu et c'est intentionnellement que je t'ai défié. Au partir du moment où tu as posé le regard sur moi, je ne pouvais plus me défaire de l'idée de t'affronter.

Marie ne bougea pas, sentant qu'une chose se passait. Son poing était serré sur le manche de son sabre. Après cela, l'homme qui se nommait finalement Trak Ryuketsu, recula en faisant des sortes de saut, pour aller se placer sur le toit se trouvant en face. Marie l'observait, il s'était agenouiller. Tout en le surveillant, Marie s'aperçut, que bien qu'elle ne soit en aucun cas fatigué, sa puissante d'énergie avait quelque peu diminué. Elle leva la tête et souri.

Marie : * c'est ton pour cela qu'il m'a touché... Je savais bien qu'il se passait quelque chose d'anormal. Mais bien qu'il m'en a pris, il m'en reste bien suffisamment pour le battre.... *

Marie revient à elle, Trak n'avait toujours pas bougé et la fixait comme s'il lui lançait de défit d'attaquer. Marie voyait bien qu'il était prêt pour le combat et elle aussi, plus vite cela commençait, plus vite ça se terminerait. Elle tendit alors son bras sur le côté et commença à le faire tourner dans sa main. Puis, elle donna, simplement, un coup dans l'air, créant ainsi une lame fonçant sur Trak. Cependant, elle ne resta pas la à attendre de voir si son attaque atteignait sa cible. Une ou deux secondes après sa première attaque, Marie mit son bras tenant le sabre en arrière et sauta. Quand elle fut au-dessus de Trak, elle descendit en pique sur celui-ci en attaquant.

Marie : Ittoryu... Piasu no sentan ! (Pointe transperçante)

Marie, arrive à un mètre de Trak, déplia son bras, en le projetant en avant. La lame, fonçait droit en direction de côtes de son adversaire, prète à le transpercer. Marie n'avait plus aucun sourire sur son fin visage. En fait, elle n'avait plus aucune expression. Son visage était fermé à toute émotion, tout comme son esprit. Plus qu'une chose était importante : la victoire. Plus que toute, c'était la seule chose à quoi Marie devait penser. La victoire pour pouvoir continuer sa mission, pour pouvoir enfin réaliser le plan de Dragon, pour pouvoir enfin être libre...

(Un combat nécessite toujours une bonne musique... Alors en voila une!!!

)

Je vis bien dans son regard qu'elle avait ressentit son manque d'énergie. Pourtant, on pouvait voir qu'elle n'était en rien épuiser. Bizarre. Normalement, cela créait une fatigue plus ou moins forte. Cela prouvait qu'elle n'était pas comme les autres. J'observa le moindre de ses faits et gestes. Ramenant son bras en arriere, elle commenca a faire tourner son sabre dans sa main. Elle décocha ensuite un simple qui m'envoya la meme vague que tout a l'heure. Ne prenant pas la peine de bouger cette fois-ci, je me releva juste et envoya un Ran Kyugan pour le contrer. Les deux lames d'air se toucherent et se détruisirent mutuellement.

Elle était rapide. Tres rapide. La vague n'était qu'une diversion pour s'approcher de moi. Arrivé au dessus, elle partit en dans un grand piqué. Seul mes réflexes de boxers me permirent d'esquiver. J'eu quand meme le temps de chuchoter ''Hebi wa hidari'' avant de fléchir la jambe gauche et prenant appuie sur elle pour esquiver le coup. La lame passa non loin de mes cotes. Je ramena rapidement mon poing gauche vers moi et murmura cette fois-ci ''Hakai-tekina fukku'' avant de balancer un crochet du gauche dans les cotes, ainsi exposé. Il est normalement impossible de pouvoir esquiver dans cette situation. On ne peux manoeuvrer dans les airs. j'esperais qu'elle esquiverais. Pourquoi? Terminer un combat aussi rapidement, ce n'est pas vraiment drole...

Marie était au-dessus de Trak. Dépliant son bras afin de l'attaquer. Cependant, il bougeant rapidement et put éviter l'attaque. Marie, ne pouvant arrêter son geste à cause de son élan, ne put que l'observer alors que celui-ci préparait son attaque. Il ramena son poing gauche près de lui et murmura quelque chose avant de lancer son poing dans la direction des cotes de Marie, qui était exposé par son attaque. Marie voyait ce poing approché de plus en plus dangereusement dans sa direction. Elle savait que ce coup était puissant et que si elle en était victime, cela lui infligera de fortes blessures. Il était difficile pour elle de pouvoir esquiver ce coup. Elle ne pouvait réellement bouger dans les aires avec autant d'élan. Mais elle devait réagir vite, le poing, n'était plus qu'à quelque centimètre de son corps. Elle essaya alors un coup de défense qui pouvait peu-être raté, mais qui n'était, en effet, que sa seule solution. Elle lança son sabre de sa main droite à sa main gauche en le tenant cependant à l'envers, la fin de la poignée vers l'avant et la pointe de son sabre dirigé vert ses pieds. Juste à temps, son sabre c'était placé juste devant les cotes de Marie, bloquant in-extrémiste, le poing de son assaillant. Quand le poing et le sabre se percutèrent, Marie crut que son sabre allait céder, mais, heureusement, il tint bon. Cependant, bien que ce geste l'ai sauvé de ce coup de poing, elle ne remarqua pas le mur se trouvant devant elle et ne put donc pas l'éviter.

Marie se releva malgré tout et examina son sabre. Il était intacte, tant mieux, elle n'avait pas emmené ses autres armes et ne voulait surement pas l'utilisé lui, pas maintenant, pas tant que cela n'était pas nécessaire. Elle leva la tête et vit que Trak n'avait, lui non plus bougé. Ils se fixaient, attendant la prochaine attaque. Marie détestait attendre et même si elle savait que de foncer n'était toujours très sécuritaire, elle n'avait pas toute la journée. Elle rengaina alors son sabre et s'accroupit.

Marie : Ittoryu...Iai Rashōmon !

Marie fonça sur Trak en un saut, dégaina et rengaina une nouvelle fois, arrivé derrière Trak. Elle était agenouillée et attendait. Cette attaque était très dangereuse si l'ennemie se faisait toucher, mais pouvait aussi être au désavantage de son utilisateur...

Effectivement, elle ne l'a pas esquiver. Non non, elle l'a parer. A une vitesse phénoménale de surcroit. Elle fit changer de main son sabre en le retournant, se qui bloqua mon coup. Le choc se fit entre la lame et le haut de mon gant, donc mes clous. Ma main fut engourdie pendant quelques secondes et je la secoua pour faire circuler le sang a l'intérieur. Je reporta mon attention sur mon adversaire. Celle-ci s'était pris un mur puisqu'elle n'avait pas pu l'esquiver.

J'esquissa un sourire en coin en la voyant se relever et examiner son sabre. Celui-ci ne semblait rien avoir. Elle me regarda. Oui, j'attendais de nouveau qu'elle m'attaque. La provocation... Mon atout préféré. Et il sembla marcher puisque Marie s'accroupit et rengaina son épée. Je vis qu'elle murmura une chose que je n'entendis pas. Puis elle sauta vers moi une nouvelle fois. Cette fois-ci, je décida de ne pas esquiver. Je déploya l'Aura que j'avais en réserve. Je la solidifia sur mon corps sous forme d'énergie.

- Tekkai Enerugī

Elle arriva derriere moi, comme si elle m'avait traversé. Mon Aura craquella, se fendit et finit par se briser. Je sentit une petite entaille se faire sous ma manche droite. Je frissona d'excitation. Si je n'avais pas mis mon aura, je ne me serais sans doute pas relever. Je souris diaboliquement et décida qu'il était fini de jouer.

- Fukashi-sei

Je me mis a faire un grand nombre de Soru autour d'elle, allant de plus en plus vite et me rendant totalement invisible aux yeux normaux. Puis je ferma mes poings et cria

- Fauru-u!!!

Je fis un soru dans sa direction et lui asséna un double coup de poing avant de me remettre a me tourner autour d'elle. Je refis sa, une, deux, trois, quatre, cinq fois avant de m'élever dans les airs au-dessus d'elle. Je ne vérifia pas si je l'avait fortement touché et fit un Soru en piqué, les deux poings en avant, dont j'avais préalablement durcit avec un Tekkai. L'impact fut rapide. Cela créa un gigantesque trou en dessous de nous et soulevant un nuage de poussiere. Je sortis de celui-ci et attendit qu'il se leve pour voir mon travail. Je frissona de nouveau d'excitation a l'idée qu'elle se releve de cette attaque.

Marie était derrière Trak, attendant, toujours accroupit. Elle se retourna tout doucement. Elle avait sentit une résistance à son attaque et n'avait donc aucune idée de l'entendu des dégâts faits par son attaque. Elle se retourna tout doucement tout en se relevant. Cependant, quand elle fut face à lui, elle ne put voir grand-chose, à par son sourire diabolique. Même si l'attaque l'avait touché, elle ne semblait lui avoir fait d'importants dégâts.

Marie sentit des souffle autour d'elle, apercevait des ombres, mais ne pouvais voir Trak, se déplaçant trop vite. Marie sentit des souffle se diriger dans sa direction, elle ne savait pas ce que cela était mais, pensa qu'il valait mieux éviter ces choses. Malheureusement, elle ne fut pas assez rapide. Elle arriva à éviter le premier, le second, elle eut le réflexe de mètre son sabre devant sa tête et sentit, à son grand étonnement, une pression contre son sabre. Elle comprit alors que ce n'était pas de simple souffle, mais des attaques de son ennemi. Mais, pendant, qu'elle remarqua ceci, elle ne put éviter un troisième coup, qui l'atteignit à l'épaule droite. Elle réussit à rester debout, mais fut déplacé de deux mètres vers gauche. Elle ne put bouger son bras pendant quelques secondes, mais, malheureusement, pendant ces quelques secondes, Marie prit un autre violent coup dans le dos. Elle fut de nouveaux propulsée en avant, mais réussi à s'arrêter devant un autre mur in-extrémiste.

Quand elle se releva, tout était devenu calme, trop calme. Elle entendit soudent un murmure presque inaudible et leva la tête brusquement. Cependant, elle n'eu pas le temps de baisser celle-ci. Trak apportait une nouvelle attaque. Il lui fonçait dessus, les deux poings en avant. Marie ne put faire qu'un seul et unique mouvement. Elle leva son bras. Son sabre tenu horizontalement. Celui-ci et les puissant poings de Trak s'entrechoquèrent. Marie ressentit les vibrations jusqu'au plus profond de son être, mais tint bon. Le sol sous les pieds de Marie fut creusé. Marie sentit la pression sur son sabre disparaitre mais, ne voyait rien d'autre qu'un épais nuage de poussière l'entourant entièrement. Son bras était un peu engourdit, mais allait beaucoup mieux.

Peu à peu, le nuage s'en alla et elle put apercevoir devant elle, Trak l'observant, comme s'il n'attendait que qu'elle se relève. Elle sourit, cela serait peux être plus intéressant que prévu.

Marie : * Il attend que je me relève, ce n'est pas un combat rapide pour terminer sa mission qu'il cherche, mais un combat distrayant et qui pourrait l'aider à s'améliorer. Il va regretter, de vouloir me voir me relever...*

Elle le regarda dans les yeux, sans ciller, laissant le vent qui balayait la poussière, emportait ses cheveux sur le côté. Elle tenait à présent son sabre normalement, pointe vers le bras, bras tendu, elle ne faisait qu'attendre.

Marie : Qu'attend tu de ce combat, tu as peux être ton temps, mais, moi je suis pressée, alors maintenant, laisse-moi passée, ou meurt...

Marie, posait cette question, mais au fond d'elle, savait déjà la réponse. Et ses pensées se confirmèrent quand elle ne vit pas Trak bouger d'un pouce.

Marie : C'est comme tu veux... Ittoryu... Hiyu Kaen !

Marie plongea sur son adversaire en étant entouré d'une aura représentant une forme floue et peu opaque. Puis, elle voulut trancher Trak. Si son attaque atteignait sa cible, la blessure commise par l'attaque s'enflammerait instantanément.

Elle s'était relevé... Elle s'était relevé... Je frémissais d'excitation. En examinant de plus pres mes poings, je sentis qu'ils étaient légerement engourdis. Sans doute le choc du dernier coup qu'elle avait sans doute paré avec son sabre. Mon corps entier tremblait sous l'excitation. Cette femme... Je l'admirais. Elle me permettait de m'entrainer énormement. Je me mis en position de combat, bras droit relevé en arriere, bras gauche devant, pret a bondir. Je l'observa. Son sabre avait sa point en bas. Elle devait penser a quelque chose puisqu'elle souriait et me regardait dans les yeux sans ciller. Je fus un peu surpris quand elle me dit:

Qu'attend tu de ce combat, tu as peux être ton temps, mais, moi je suis pressée, alors maintenant, laisse-moi passée, ou meurt...

Je souris d'avantage. Je n'allais pas lui faire l'honneur de répondre maintenant. Je ne bougea pas pour autant. Je la vis murmurer quelque chose avant de nouveau sauter vers moi. Je soupira intérieurement. Si elle continuait ce genre d'attaque, elle finirait par y passer... N'avait-elle pas vu ma vitesse? Alors remontrons lui. ''Soru'' Je me retrouva dans son dos, toujours dans les airs. Un sourire sadique aux levres, je placa mes deux poings a quelques centimetres d'elle et lui chuchota:

- Je ne suis la que pour m'améliorer...

Je prononca ensuite d'une voix forte et impétueuse:

- Roku Ou Gun!

Une magistrale décharge d'énergie partit de mes poings et frappa la révolutionnaire de plein fouet. Cette fois-ci... Elle ne se relevera pas. Je posa pieds a terre et sans un regard en arriere, je marcha a l'opposé du champ de bataille...

Marie attaquait Trak. Celui-ci n'avait pas bougé après la demande de Marie. Cependant, cette attaque n'atteint jamais sa cible. Avant même que Marie puisse être à un mètre de Trak, celui-ci disparut. Il se retrouva soudain dans son dos et avant même qu'elle puisse faire un geste, il plaça ses deux a quelques centimètre du dos de Marie et avant d'attaquer, prononça quelques mots.

Trak : Je ne suis la que pour m'améliorer...

Marie entendit ces mots puis une puissante douleur lui assaillit le dos. Il avait attaqué Marie et avait tournée les talons au champ de bataille pour parti. Marie était au sol. Cette attaque l'avait propulsé en avant, elle était puissante, une personne normal ne se serait surement jamais relevé. Mais Marie n'était pas une personne normale et elle devait se relever. Elle tenait toujours son sabre dans sa main avec l'autre main, se leva un, de sorte à pouvoir tourner la tête dans la direction que prenait son adversaire. Elle sourit, un sourire cruel. Décidément, c'était beaucoup plus divertissent qu'elle ne l'aurait pas pensé. Elle se leva entièrement, sans que Trak la remarque. Elle enleva la poussière de sur ses vêtements et resta là, quelques secondes, sans bouger, regardant la silhouette de Trak s'éloigner de plus en plus. Elle murmura alors quelques mots et courut.

Elle arriva soudain devant Trak son sabre levé prêt de sa gorge. Le sourire qu'elle avait aux lèvres resta un peu le temps qu'il puisse l'apercevoir, puis s'évanouit pour remontré le visage, sans sentiments et impassible de d'habitude.

Marie : On ne t’a donc jamais appris les règles de combat. La première, ne jamais tourner le dos à son adversaire, la deuxième, on ne part pas avant d’avoir fini un combat et une des plus importante, toujours connaitre la force de son adversaire. Tu croyais réellement que je me battrais dès un début de combat, tu croyais réellement, que j’allais te montrer ma force ? Croit moi, tu vas regretter de ne pas t’en être souvenu…

Marie fit alors un tour sur elle-même, prenant de l’élan, le bras tendu de telles sortes que, quand elle aurait fini son tour, la lame aille directement se planter dans le cou de son adversaire…

Oui, elle s'est relevé. Je voulais me mettre a rire, mais cela aurait trahis le fait que je l'avais entendu. Elle courrait aussi vers moi, je l'entendais a ses pas mais je ne bougea pas. Laissons lui l'occasion de porter un coup. Elle n fit rien de cela... Elle loupa la seule occasion de pouvoir m'abattre. Mais cela pouvait etre compris, la fureur du combat l'avait gagné. Elle tendit son sabre sabre sous ma gorge. Un sourire cruelle aux levres, elle l'enleva quand elle fut sur que je l'avais bien vu et repris un visage sans aucune expression.

On ne t’a donc jamais appris les règles de combat. La première, ne jamais tourner le dos à son adversaire, la deuxième, on ne part pas avant d’avoir fini un combat et une des plus importante, toujours connaitre la force de son adversaire. Tu croyais réellement que je me battrais dès un début de combat, tu croyais réellement, que j’allais te montrer ma force ? Croit moi, tu vas regretter de ne pas t’en être souvenu…

Et la, elle commenca a tourner sur elle-meme. Partit comme elle est, elle me trancherait la gorge. Je soupira intériereurement. Je leva mon bras, ouvrit la main et fit un Tekkai dessus. Quand elle finit son tour, j'attrapa la lame et l'arreta dans son geste. Ce fut a mon tour de sourire cruellement.

- Pour la premiere regle, je t'ai sous-estimer, c'est vrai. Pour la deuxieme, je pensais que tu étais pressé, mais finalement, le combat a l'air de te plaire. Pour ce qui est du dernier, toi meme, tu ne connais pas la mienne. Mais pour remédier a cela, je te propose un deal. Je te montres la mienne et tu fais de meme, d'accord?

Je n'attendis pas sa réponse. Je lacha son épée et recula assez loin d'elle, tout en relevant ma manche droite. M'arretant, je passa mes doigts le long de mon bras, convertissant ainsi ma propre force vitale. L'aura était encore caché mais cette fois-ci, je voulus lui montrer. Je croisa les bras sur mon torse avant de les rabaisser rapidement, libérant ainsi ma puissance caché... L'aura m'englobait entierement et faisait un peu plus de deux metres de diametre. Pour arriver a ce résultat, j'avais du pomper la moitié de mon énergie mais cela ne m'affaiblissait pas pour le moment, tant que je la garde sur moi... Je la regarda, un sourire meurtrié ornant mon visage. J'attendais de voir ce qu'elle était réellement...

Mon attaque n'était pas ce qu'elle paraissait être mais, quand il bloqua mon sabre, elle ne fit rien pour l'en empêcher. Alors qu'il tenait encore le sabre de Marie entre ses mains, il se mit à sourire cruellement en lui disant que pour sa première règle, elle avait raison mais, que pour la troisième, il avait cru comprendre qu'elle devait être pressé puis insinua ensuite, que le combat lui plaisait. Et enfin, il parla de la troisième, en lui disant, qu'il ne connaissait peut-être pas la force de Marie, mais que, elle non plus, ne connaissait pas sa force. Il parla alors ensuite d'un deal. S'il lui montrait sa véritable force, elle lui montrait la sienne. Marie, pendant ces paroles, souriait intérieurement, mais avant même qu'elle puisse commenter cette proposition, il lâcha son sabre et fit quelque geste avec ses deux bras. Marie ne savait pas ce qu'il pouvait bien fabriquer mais elle sentit tout d'un coup une puissance cachée se montrer aux grands jours. Marie sentit croitre la puissance de l'aura de Trak. Celui-ci devait utiliser beaucoup d'énergie pour pouvoir se servir ainsi de cette aura. Quand un sourire meurtrier orna son visage, Marie comprit qu'il attendait qu'elle lui montre à son tour sa puissance.

Marie eut alors, elle aussi, un sourire, mais pas meurtrie, un sourire qui était ironique. Elle fixait toujours Trak, qui n'avait pas bougé, elle n'y croyait pas vraiment. Pouvait-il réellement panser qu'elle lui montrerait ?

Marie : ce combat, ne m'intéresse vraiment pas tu sais, je ne suis là que parce que j'ai des principes, je ne quitte jamais un combat en route avant d'avoir fini. En fait, je trouve ta puissance plutôt intéressante mais, crois tu réellement, que moi, je vais te montrer ma force, alors que...personne ne la jamais vue. Fais-moi confiance, tu ne veux pas la voir...

Marie avait fait disparaitre son sourire sur ses derniers mots et avait pris un air sérieux, il était vraiment temps d'en finir, mais pas comme ça, elle ne pouvait pas l'utiliser, il était trop incontrôlable et s'il se prenait au combat, cela pourrait mal tourner et pas que pour eux, mais pour beaucoup de monde.

Marie resta là, immobile, que pouvait-elle faire d'autre ? Elle ne voulait pas attaquer, elle voulait avoir un aperçut de ses attaques avec cette puissance qu'il venait de découvrir. Elle resserra sa prise sur le manche de son sabre, elle était prête.

{HRP: Changement de musique =P

}

Le sourire ironique qu'elle arbora voulait tout dire... Elle ne me montrera pas sa véritable force. Tampis pour elle... Je l'entendis alors dire:

Ce combat, ne m'intéresse vraiment pas tu sais, je ne suis là que parce que j'ai des principes, je ne quitte jamais un combat en route avant d'avoir fini. En fait, je trouve ta puissance plutôt intéressante mais, crois tu réellement, que moi, je vais te montrer ma force, alors que... Personne ne la jamais vue. Fais-moi confiance, tu ne veux pas la voir...

Hum... Vraiment? Etrange. Son sourire disparut et le sérieux reprit place. Elle me dévisageait, sans bouger. Je soupira, haussa les épaules en levant les bras. Je pris ensuite un morceau de mon Aura et le modifia pour en former une sphere que je solidifia. Je l'envoya ensuite droit sur Marie, a une vitesse fulgurante. Je referma le poing et leva deux doigts. Je manipula la sphere de telle sorte qu'elle revienne continuellement sur mon adversaire. Vers le bas, vers le haut, gauche droite. Je finis par approcher de la sphere du corps de Marie, a quelque centimetres. Renfermant et rouvrant le poing rapidement, je fis exploser la sphere, envoyant de nombreux piques solide dans toutes les directions. Aucun ne m'atteignirent.

Marie vit son ennemis soupiré en haussant les épaules. Croyait-il vraiment qu’elle allait lui montrer, même pas en rêve, presque personne ne l’avait jamais vu et une grande partit de ces personnes avaient eu de petit accidents et n’étaient resté assez longtemps en vie pour diffuser l’information. Elle le vit ensuite faire des choses assez bizarre avec son aura pour en former une sphère qu’il solidifia avant de l’envoyer droit sur Marie à une vitesse vertigineuse. Elle réussi cependant à léviter, mais cette sphère était comme réglé sur elle et à chaque fois que Marie la parait, la déviait ou l’évitait, elle finissait toujours par revenir. Ce petit jeux dura quelques minute, durant lesquels, Marie dut faire bouger en harmonie, ses yeux, sa tête et sa main. Mais, Trak n’en avait pas fini et approcha la sphère de plus en plus près du corps de marie, puis, sans garde, la fit exploser. Cependant, elle ne se contenta pas d’exploser, elle envoyait de plus, des piques solides et tranchantes dans toutes les directions possible et inimaginable, excepté dans le collimateur de Trak. Marie savait qu’elle ne pouvait pas toute les éviter, mais qu’elle pouvait néanmoins amoindrir prodigieusement les nombre de pique . Elle voulut lancer son attaque défense quand une pique toucha son épaule droite qui se mis à saigner abondamment, mais elle se repris et mis en place sa défense.

Marie : Ittoryu… Sanzen Sekai !

Marie fit tournoyer son sabre devant elle à une vitesse telle que l’on ne voyait plus qu’un cercle . Cependant, elle n’en resta pas là. Elle se mit, elle aussi à tourner à son tour pour pouvoir créer le moins d’espace possible d’infiltration pour les piquants . C’était efficace, très efficace mais, malheureusement, pas parfait et, bien contre son gré, quelques piquants finir par passer à travers sa défense pour aller la blesser à la jambe gauche, au niveau des côtes et à l’avant bras droit.

Ma sphere fit mouche, certes, mais a chaque fois, elle fut dévié, repousser par Marie. La défense parfaite de mon adversaire me réjouissait. Pourtant, je commencais a m'ennuyer ferme. Quand mon attaque explosa, elle prit d'abord un pique dans l'épaule droite avant de faire une magnifique attaque tournoyante double, de son sabre et d'elle-meme. Cela eut pour effet de réduire le champ d'impact des piques. Ce qu'elle avait sans doute oublié, c'est que j'avais fait exploser mon attaque a bout portant. Quand elle s'arreta, je pus observer le résultat de mon coup. Trois piques violets marquaient les blessures, une a la jambe gauche, une autre a l'avant-bras droit et la derniere, au niveau des cotes.

Je secoua la tete pour dissiper les rares taches noirs qui apparaissaient devant ma vision ainsi que le léger vertige, suite a la perte de la force vitale. Il en fallait quand meme une quantité conséquente pour pouvoir la lancer. Je regarda Marie et vit qu'elle ne fit rien de plus, meme pas une petite riposte. Je soupira et lui lanca:

Je te remercie pour ce combat, mais frapper un sac de sable, je peux le faire tout seul, je n'ai pas besoin d'une cible vivante. La prochaine fois que l'on se revoit, n'esperes pas finir dans cette état la, ou alors, c'est que tu auras eu de la chance. En tout cas, si tu veux réellement te battre, montre-moi qui tu es vraiment.

J'absorba mon Aura et tourna les talons, mains dans les poches. Je me mis a marcher, muscles tendus, sens aux aguets, si l'envie de la révolutionnaire, lui prenait de m'affronter, toute puissance dehors...

Marie était la, fixant son adversaire sans bouger. Elle le vit secouer sa tête. Elle savait que cette attaque l’avait fatigué, en effet, car elle était puissante. Les blessures n’avait d’ailleurs pas arrêté de saigné, ce que normalement, elles faisaient au bout de quelques minute maximum. Il l’entendit soupirer. Marie devinait pourquoi. Elle ne faisait pas grand chose mais, apres tout, elle n’avait pas demandé se combat, elle était plutôt pressé, elle. Enfin, il confirma ce qu’elle pensait. Il lui dit que frapper un sac de sable n’était pas son but et qu’il n’avait pas besoin d’une cible vivante. Cette dernière remarque plaça un petit sourire au coin assez ironique au coin des lèvres. Enfin bref, il continua son discoure en lui disant que si ils se rencontraient une nouvelle fois, elle ne s’en sortirait pas à aussi bon compte. Il rajouta alors que si elle voulait réellement se battre qu’elle lui montre qui elle était vraiment.
Après ces quelques paroles, il fit une chose qui fit disparaître cette aura qui était autours de lui et s’en alla les mains dans les poches. Marie remarqua bien qu’il ne s’était pas décontracté et qu’il attendait une riposte de la part de Marie.

Marie savait qu’elle n’attaquerait pas avec sa force au maximum. Même elle avait une crainte de se qui pourrait arriver si elle laissait sa force la submerger. Il ne pouvait savoir, il ne pouvait comprendre. Mais Marie n’aimait pas beaucoup les paroles de Trak, elle avait bien comprit qu’il la provoquait pour qu’elle attaque. Mais lui, n’avait pas semblait comprendre qu’elle ne le ferait pas.

Marie : Une cible vivante ? Le jour où cela arrivera n’est pas encore arrivé crois-moi. Je n’ai pas peur de toi, jamais. Je n’était pas ici pour me battre, c’est toi qui ai venu me chercher. En tout cas, j’ai bien l’impression que tu n’as pas compris mes paroles. Ma force, tu ne la verra pas, cela, serrait trop risqué. Enfin, je n’ai pas l’habitude de laisser un combat en suspend mais si tu tien réellement à t’arrêter et à fuir, alors je ne t’en empêcherais pas. Part si tu tient mais sache que c’est la première… dernière fois.

Marie ne savait pas que ferait Trak. Allait-il rajir ou comme elle l’avait dit, allait-il partir sans se retourner ? Marie ne connaissait pas la réponse mais savait que dans un cas comme dans l’autre, elle était prête.

{Petit moment sentimental...

}

Je marcha encore quelques metres, quand la voix de Marie résonna a mes oreilles:

- Une cible vivante ? Le jour où cela arrivera n’est pas encore arrivé crois-moi. Je n’ai pas peur de toi, jamais. Je n’était pas ici pour me battre, c’est toi qui ai venu me chercher. En tout cas, j’ai bien l’impression que tu n’as pas compris mes paroles. Ma force, tu ne la verra pas, cela, serrait trop risqué. Enfin, je n’ai pas l’habitude de laisser un combat en suspend mais si tu tien réellement à t’arrêter et à fuir, alors je ne t’en empêcherais pas. Part si tu tient mais sache que c’est la première… Dernière fois.

Je me stoppa. Je ne tiens pas a partir mais le combat n'est plus intéressant. Elle ne riposte meme pas a mes coups et semble me prendre pour un faiblard, au vu de ses quelques attaques. Je soupira et me retourna vers elle, mains dans les poches. J'arborais alors un visage neutre et sérieux, mon ton glacé.

- A vaincre sans péril, on triomphe sans gloire, n'est-ce pas? Si tu penses que ta force est risqué, cela signifit que tu es faible et que c'est elle qui te controle. Un pouvoir, on apprend a le maitriser, pour ne pas blesser des personnes innocentes, comme celle que l'on aime ou l'on apprécie. La peur de sa puissance le renforce constament. Tant que tu ne la controleras pas, tu ne pourras jamais me battre.

Je tourna les talons de nouveau. Je fis deux pas et tourna légerement la tete en arriere, m'arretant de nouveau.

- En ce qui concerne notre combat, disons plutot que c'est une treve. Je ne te tuerais pas maintenant, il n'y aurais aucun intéret et aucun bénéfice pour moi. Je te croyais plus forte que cela, Marie Turner... Malgré ton air froid et supérieur ainsi que tes beaux discours, tu es une personne qui vit constament dans la peur de toi-meme...

Et je repartis. Je sortis ma main droite de la poche, porta deux doigts a ma tempe et fit un geste de la main, comme pour signer un au revoir et non un adieu...

Ces paroles avaient fait réagir Trak. Celui se stoppa et se retourna, affichant un visage neutre. Mais les paroles qui suivirent-elles, furent lancé sur un ton glacial. Marie écouta sans broncher les remarques qu'il fit. Il lui commenta son propre discourt et sortis des phrases sur la propre force de chacun et que la contrôler, la dompter les rendait plus fort alors que, au contraire le fuir, ne faisait que les rendent faibles. Il tourna ensuite le dos à Marie mais, continua son discours. Une trêve, disant qu'il ne la tuerait pas, car aucun bénéfice n'était à prendre en ce moment. Il dit une dernière phrase et repris sa route, lui faisant un signe, d'un simple au revoir.

Marie avait la tête baissée. Quand elle la releva, son visage, s'affichait un sourire mais, un sourire remplis de secrets de mystères. Elle reprit alors en murmurant quelques mots puis d'une voix assez forte pour qu'il entende, entama son propre discours.

Marie : À vaincre sans péril, on triomphe sans gloire... Crois-tu réellement, que triompher avec gloire est mon but. Vivre dans le secret, mourir dans l'anonymat, que m'importe, cela n'a aucune importance. Ce n'est que fantasme et superficielle pour celui qui le souhaite. J'ai outrepassé tout cela, il y a bien des années.

Puis, d'un coup, son sourire se transforma en...rire. Les dernières paroles de Trak avaient étaient pour elle, comme un délice à ses oreilles, cela faisait longtemps, qu'elle n'avait pas entendu ce genre de choses...du moins à son sujet.

Marie : Vivre dans la peur constante de moi-même. Dis-moi où es-tu allé chercher de pareille choses. Je n'ai pas besoin de contrôler ce pouvoir, non mieux, je n'en ai pas envie. Je n'ai pas besoin de cela pour me prouver des choses, ni à moi, ni à personne. Et les gens qui m'entourent quand mon pouvoir est trop grand, meurent, c'est vrai. Mais, s'ils avaient été assez forts, ils auraient pu se défendre. Mais « amis » et les personnes que «j'aime » comme tu dis, son bien assez fort pour pouvoir au moins résister un moment. Les autres ? Ce n'est pas mon problème, encore moins les innocents, ils pourraient mourir devant moi.
D'accord, appelons cela une trêve si tu le désires mais, sache que ce n'est en rien une faveur que tu me fais et que je ne risque rien...Enfin, si tu persistes à croire que mes airs « froids et supérieurs » ne sont qu'une façade alors soit, croit le mais, même si c'était vrai, ce ne serait en rien pour cacher une peur et surtout pas de moi-même.

Marie alors, continua de sourire en regardant le ciel. Elle pensait. Puis après quelques secondes passées, elle tourna à son tour les tallons et commença à partir en direction du port, faisant sa propre route. Le sourire était toujours présent sur son visage et, elle passa une main dans ses cheveux.

« Si tu veux, un simple...au revoir... »

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