Rencontres sur Jaya [Pv: Rushifa & Jecht] [Fini]

Nami avait débarqué sur Jaya il y a quelques heures. A peine était-elle arrivée qu’elle s’était précipitée vers la ville. Elle avait marchée pendant un petit moment, laissant ses pensées aller à droite, à gauche, regardant les passants, ce laissant allée au mouvement de la foule qui traversait la grande route. Et finit par se retrouvée dans une petite ruelle on ne sait pas comment. Personne ne passait par là. Et on ne se demandait pas pourquoi, elle était arrivée dans la partie de la ville la moins fréquenter. Et bien sûr, Nami n’avait pas put atterrir autre part qu’à cet endroit. Et, comme la jeune fille n’a jamais de chance, il se mit à pleuvoir. Elle sortit rapidement de la ruelle et essaya de remonter vers la partie haute de la ville. Mais arriva un moment où elle était si trempée qu’elle dût s’arrêter et se reposer dans un petit établissement non loin de l’endroit où elle se trouvait. C’était un petit café tout ce qu’il y a de plus classique. Elle commanda une boisson chaude et la but tranquillement en regardant la pluie tomber.

Elle aimait regarder la pluie. C’est comme si le monde était lavé de toutes ses imperfections. Elle resta un long moment, à regarder ce phénomène magnifique. Puis la pluie cessa. Elle se leva, régla l’addition et repartit dehors. Elle parcourra la ville et s’arrêta devant une petite fontaine qui se trouvait là. Elle s’arrêta devant et s’assit sur le bord. Elle était toujours trempée et elle profita qu’elle soit assise juste en face du soleil pour bronzée et continua de regarder les passants tout en réfléchissant à la prochaine chose qu’elle fera avant de retourner sur son bateau…

Rushifa venait d'arriver sur Jaya. Il décida de se reposer un peu dans la somptueuse cité.

Rushifa (pense) : Ce ciel si beau si colorer...Il ne me plait nullement...

Rushifa utilisa son pouvoir et provoqua une averse. Les rues se vidèrent rapidement. Il apercut dans une taverne une jeune fille qui regardait la pluie avec passion et admiration. Dans son regard se reflétait une sorte admiration. Il fit cesser la pluie pour que celle-ci sorte.

La jeune fille partit vers la fontaine et le révolutionnaire la suivit. Celle ci remarqua sa présence mais il ne fit que la fixé sans dire un seul mot. Puis il se décida finalement à lui parler.

Rushifa : Ne trouves-tu pas que la pluie impulse un sentiment de liberté ?

Jecht avait enfin réussit à s'échapper d'Enies Lobby pour prendre un congé non demandé. Il était arrivé sur l'île de Jaya grâce à une petite embarcation pas plus grande qu'une barque. Il sauta de son moyen de transport sur le port de l'île de Jaya. Il sortir une montre à gousset de sa poche et regarda l'heure en pensant:

*Mmm...j'ais plusieurs heures avant que Sparadra me retrouve...*

Puis Jecht leva ses yeux vers le ciel azuré, d'un bleu magifique, aussi magifque que celui d'un lac ensoleillé. Mais, des nuages noirs commençaient à apparaitre et la pluie s'abattus sur l'île. Jecht rangea sa montre en soupirant puis marcha pour rejoindre la ville. Il passait entre les habitants munit d'un parapluie, il était torse nue mais la pluie ne le génait pas, au contraire, il aimait cette fraicheur. Il adorait la sensation d'avoir de l'eau sur le corps, de bouger le corps trempé, cela lui rappaelait sans cesse les matchs de Bliztball à Zanarkand, sa ville natale. Il continuait de marcher quand soudain, la pluie se stoppa et le soleil revint, pour apporter sa lumière sur l'île. Jecht entra dans un café quand il vit une femme également trempé sortir pour rejoindre la fontaine en face, il porta un regard sur elle puis partit commander une bière. Il demanda précisément une bouteille, il ne voulait pas boire dans un verre. L'homme du comptoire passa donc une bouteille à Jecht qui s'empressa à la décapsuler. Il posa quelques berrys sur le comptoire, surement une partie de sa paye en tant qu'agent du CP9. Puis il sortit et s'asseya sur une chaise devant le café, portant une vue sur la fontaine. Il vit n jeune garçons s'approchait de la fille trempée, il arrivait à écouter leur conversation de là où il se trouvait, il décida de ne pas engager une conversation et de terminer sa bière avant...

Nami regardait les passants et vit un jeune homme qui la fixait sans rien dire. Nami le regarda mais passa rapidement à autre chose, si il voulait lui parler qu’il vienne, elle, elle ne bougerait pas. Après quelques instants, il s’approcha d’elle et lui posa une question étrange. Il lui demanda si elle ne trouvait pas que la pluie impulsait un sentiment de liberté. Nami le regarda. Sa question l’étonnait. Ce n’était pas une question que l’on posait très souvent. Et surtout pas à la première personne qui venait. Nami réfléchit quelques instants et lui répondit.

« Si, la pluie est synonyme de liberté. Enfin, pour moi, mais, pourquoi cette question ?? »

Nami était sceptique. Elle était totalement d’accord avec le jeune homme mais sa question l’intriguait quelque peu tout de même. Elle trouvait que la pluie était synonyme de liberté car, en tout point, la pluie est libre. Elle est libre de prendre la forme qui lui convient, elle est libre de se laisser tomber d’un nuage, elle est libre de se laisser porter par le vent. Elle fait ce qui lui plait. Ce devait être bien d’être la pluie. Aller où il nous plaît, parcourir le monde en un instant… C’était cela la liberté, faire ce que l’on veut, lorsqu’on le veut, où l’on veut. Beaucoup de personnes rêvaient d’être libre. Mais peu de personnes y arrivaient… Il faut dire que ce n’était pas la chose la plus facile à accéder… Où peut-être y arrive-t-on seulement lorsqu’on le veut vraiment ? Beaucoup de gens ne savent pas réellement ce qu’ils veulent après tout… Mais le jeune homme en face de Nami, lui, avait l’air de savoir. Restait juste à ce qu’il explique tout ca à Nami…

Rushifa entendit bien sa réponse, elle était spontanée et synonyme de désir et de manque de liberté. Après tout le désir né du manque. Il l'a regarda droit dans les yeux. D'habitude lorsqu'une personne voit les yeux rouges du révolutionnaire des bas-fonds il est tout de suite effrayer et cri au démon. Après tout c'est humain, avoir peur de la différence et tout de suite trouver une explication du domaine de l'ufologie ou de l'irréel... Elle le fixa, avec un air sceptique mais qui pourtant se sentait en confiance. Il reprit donc la parole.

Rushifa : Pour un Homme la liberté c'est sacré, mais malheureusement, le monde, la marine, le gouvernement... Tant de barrières s'opposent à la liberté. Mon but est de détruire ces barrières. Je n'ai pas de rêve mais une utopie, un projet. Rétablir ce qui doit l'être. Personne ne doit se dire supérieur à une autre et encore moins ces imbéciles de Dragons Celestes... Je ne vais tourner autour du pot. Tu sembles être une Pirate et à en juger par tes mots tu as soif de liberté...Moi aussi, mais la liberté je l'ai déjà, je suis libre comme l'océan, comme l'air...Comme de nombreuses métaphores réalistes aux quelles seuls des personnes ayant ce désir de liberté peuvent comprendre ! Mais malheureusement tout le monde n'a pas accès à cette liberté et le peuple est soumis à cette ignorance ! Je te pose donc cette question... Je cherche de nombreux pirates comme alliés, moi, Rushifa, Le Révolutionnaire des Bas-Fonds, désires-tu faire partie de mes alliés, toi et ton équipage par la même occasion, pour aider le monde..non..LE PEUPLE, à enfin goûter à cet arôme inconnu de bien nombreux Hommes : La Liberté ?

Rushifa avait fini son monologue. Il s'était un peu emballé, il faut le dire. Mais d'habitude il aurait jouer du piano après, mais son bateau et loin. Il utilisa son pouvoir et fit de nouveau tomber la pluie en attendant la réponse de la jeune fille, pour écouter la douce mélodie des goûtes chutant sur le sol.

Jecht était resté assit sur sa chaise, en entendant avec attention le long discours du jeune homme. Il restait nostalgique à cette façons de penser, il ne pensait même plus à sa bière. Puis il se leva quand tout à coup, la pluie s'abattit de nouveau sur eux. Mais Jecht continuer de marcher vers eux avec un visage sans sourire appairant, Jecht montrait un autre aspect de lui-même. Il arriva devant les deux marins et prit la parole...

"Tu dis que tu veux détruire les barrières qui sépare le monde, pour lui faire connaitre la liberté. Tu dis être libre, mais une liberté mérite-t-elle d'être vécu seul ? Pense aux familles que tu risques de détruire, aux père qui devront partir au seuil de la guerre en laissant sa famille. Au enfants qui seront orphelins, au femme qui seront veuves. Et tout ça pourquoi ? Pour la liberté. Ta cause est noble, plus que noble je dirais, mais j'espère que tu as une idée des conséquences que tu pourrais causer dans un futur proche..."

Jecht fixait le jeune homme avec ses yeux rouges et un visage sérieux. Il était clair que Jecht a une idée des conséquences que peut apporter se genre de mouvement. Il avait aussi une idée de cette liberté à laquelle il joue, il veux connaitre la réponse du jeune homme pour voir si il a conscience de ses actes...

Après la réponse de Nami, l’homme parti dans un discours enflammé, il parlait de liberté, il voulait donner au peuple cette liberté, lui, Rushifa, le révolutionnaire des Bas-Fonds, comme il s’appelait. Son objectif était plus qu’honorable et Nami était tout à fait d’accord avec lui. Il lui demanda alors si elle voulait l’aider à permettre au peuple de goûter à la liberté. Et c’est alors que la pluie se remit à tomber, comme si c’était Rushifa lui-même qui la contrôlait. Nami observa le ciel qui s’était obscurci et réfléchit. Elle voulait l’aider mais il ne fallait pas qu’elle fasse de bêtises, et surtout pas qu’elle embarque son équipage si celui-ci ne le voulait pas. En regardant la pluie, elle se convainquit d’accepter d’aider Rushifa, ils avaient les mêmes principes et ceux du jeune homme étaient en accord avec ceux de Nami. Elle le regarda dans les yeux, plongeant son regard dans les yeux rouges du révolutionnaire. Elle vit qu’il voulait réellement ce qu’il disait, que ce n’était pas des paroles en l’air. Nami allait enfin lui répondre lorsqu’un autre homme arriva. La jeune fille se tourna vers lui, il avait apparemment écouté toute la discussion entre Nami et Rushifa.

Il demanda alors à Rushifa s’il prenait en compte les conséquences que la liberté pourrait causée. C’était une assez bonne réflexion, mais Nami ne saurait pas trop quoi répondre. L’homme fixait Rushifa avec ses yeux rouges, similaire à ceux du révolutionnaire. D’ailleurs c’était une couleur étrange pour des yeux, et ça faisait plutôt peur quand on y réfléchissait… C’était peu commun de voir des gens qui en avaient et Nami avait eu la chance d’en rencontrer deux en même temps. Et ils allaient d’ailleurs partir dans un débat qui se promettait intéressant. Surtout que la pluie ne cessait pas… Cela rendait le tableau morose mais ça allait bien avec la discussion après tout. Nami regardait Rushifa qui n’avait toujours pas bougé…Elle ne lui avait toujours pas répondu mais elle espérait qu’il avait deviné qu’elle acceptait sa proposition, et cela même malgré l’interruption de l’autre homme. Il ne restait plus qu’à ce qu’il réponde, et sa réponse allait où la conforter dans son idée, ou bien cela la ferait changer d’avis…

Rushifa était fatigué de tel discours. Comment un homme qui ne le connaissait pas pouvait se permettre de juger l'utopie du révolutionnaire. Il faisait tout ça pour le peuple et ne voulais pas du tout confronter celui-ci à cette grande lutte. Malgré tout Rushifa ne pouvait pas en vouloir à cet homme. Après tout, quelle noble pensée...Réfléchir aux répercutions sur le peuple.... Mais l'homme des bas-fonds faisait tout cela pour l'intérêt des Hommes et non contre eux. Il prit alors la parole :

Rushifa : La conscience ? Un mot qui n'a pas de sens pour moi... Si je fais tout cela c'est que j'ai un but, cette liberté... Chaque Homme en rêve, consciemment comme inconsciemment...Voilà pourquoi la conscience n'a pas de sens ! Il y aura des répercutions certes, mais si je réussis ou bien fait avancer les choses, je pourrais mourir... La mort ne me fait pas peur, après tout, personne ne revient de si long voyage...Il y a peut-être quelque chose de plaisant ? Mais en tout cas, je veux rendre à mon monde natal la liberté ! Les sacrifices seront nombreux, et ce ne sera pas tâche facile...Je savais que finalement seul je ne pouvais pas y arriver, mais grâce aux aspirants de la liberté, l'idéal du peuple sera le futur.

Il se tût, regarda le ciel pluvieux et pensa...

Rushifa (pense) : La liberté... un trésor altruiste que je partagerais...

La pluie continuait de faire rage, lorsque que le jeune homme commença à parler, Jecht serra le poing en affichant un regard de colère et de haine. Il ne pouvait s'empêcher de penser que l'homme face à lui n'était qu'un égoïste qui, non seulement savait se qu'il faisait, mais quand plus il connaissait les répercutions et n'était pas prêt à arrêter.Puis, le jeune garçons poursuivit, Jecht dé-serrer de plus en plus le poing, tandis que son regard passait d'un regard haineux, à un regard compréhensif. Puis il vit le jeune garçons lever la tête vers le ciel noir, Jecht pensa:

*Mmm...si jeune et pourtant il possède un point de vue aussi précis sur son futur et de sa mort. Dieu sait que j'en ai vu des gens comme lui, et il sait aussi bien que moi qu'ils n'ont jamais réussit. Je suis tout à fait d'accord avec lui, mais, il y a un prix à tout....*

Jecht soupira en posant ses mains sur sa taille puis fixa le jeune homme d'un regard décisif...

"Ta cause est juste, mais pense-tu pouvoir convertir le peuple avec des mots ? Il faut que tu ai une chose que les dirigeants ont toujours su avoir: la confiance des autres. Tu possède des idées précises pour libérer le peuple, mais, ce n'est pas grâce à cela que tu réussiras. Tu sais aussi bien que moi que cela fait des siècles que la Marine a sue imposé la graine de la peur dans l'esprit des gens. Toi, moi, et bien d'autres encore ont su détruire cette graine de leur esprit, en la transformant en haine ou en foi. Mais sache que bien plus n'ont pas réussit, ils résident dans la terreur et la crainte. Sauras-tu te montrer en homme de confiance ? Ou alors finiras-tu ton projet seul et feras-tu comment tu l'as dis, mourir pour un projet non abouti ?"

Jecht continuait de fixer le jeune homme, avant que se dernier ne réponde, Jecht sourit et ajouta:

"Sache que je veux bien t'aider, mais j'ai besoin de voir si je peux accorder ma confiance. Sache que le monde possède de nombreuses personnes ayant une façons de penser à la liberté et la justice, j'espère que tu sauras réunir ses personnes sous une seule et même bannière..."

La réponse de Rushifa plut beaucoup à Nami, elle était maintenant certaine qu’elle allait l’aider. L’autre homme, lui, avait d’abord l’air plutôt en colère mais après la réponse du révolutionnaire était comme Nami, c'est-à-dire plutôt d’accord. Il pleuvait toujours et la pluie était si dense que Nami avait du mal à voir les deux hommes. Mais la carrure du second homme lui rappelait quelqu’un… Quelqu’un qu’elle avait rencontré il y a peu de temps… Cela la turlupinait quelque peu… Peut-être qu’elle se faisait des idées… Ou peut-être pas… Il ne restait plus qu’à attendre que le soleil revienne pour être sûr qu’elle ne rêvait pas… Ou il suffisait que l’homme dise son nom, cela conviendrait mieux à la jeune fille, elle serait fixée.

En attendant, elle appréciait la pluie et écoutait les arguments des deux hommes, tout ce qu’ils disaient était bien réel, rien n’était faux, et cela faisait du bien de rencontrer des gens qui se rendait à ce point compte de ce qu’il se passait, et de ce qu’il pourrait se passer. Qui pensait aux conséquences de leurs actes, quels qu’ils soient. Ça changeait des rencontres habituelles de Nami. Cette fois-ci, c’était un sujet beaucoup plus sérieux. Et ça changeait aussi les idées de la jeune fille. Surtout que ce sujet la plaisait. Même si elle ne voulait rien dire, car elle ne saurait pas parler comme les deux hommes.

Enfin, elle ne voulait pas dire de bêtises non plus, surtout qu’ils ne s’occupaient plus d’elle. Elle pouvait danser la macarena dans la fontaine qu’ils ne la remarqueraient surement pas. Enfin, cela ne voulait pas dire qu’elle allait le faire, elle n’était pas si folle que ça… Oui, ils ne s’occupaient vraiment pas d’elle… Tant mieux en faite…

Rushifa voulait clore cette discussion. Il n'était pas là pour se justifier de ses actes ou autre chose... Il intensifia alors la pluie, jusqu'à qu'on ne vit plus rien, une blancheur ou noirceur absolu, cela dépendrait du regard de la personne. Il s'approcha de Nami et se mit derrière elle sans qu'elle s'en aperçoive et lui susurra à l'oreille ces mots-ci.

Rushifa (chuchote) : J'ai pu lire ton accord dans tes yeux. Tu es spéciale un peu comme moi...N'oublie pas d'en parler à ton équipage. Crois-moi... Bientôt le monde entier entendra parler de moi...

Il laissa un Den-Den Mushi à Nami, comme à chaque fois, allégorie de leur accord. La pluie s'estompa. Rushifa n'était plus là, l'accord était conclu.

Jecht attendait la réponse de l'homme quand soudain la pluie s'intensifia empéchant toute vision. Mais Jecht arrivait à voir pendant la nuit grâce à ses yeux due à son fruit du démon. Il le vit entrain de chuchoter quelque chose à Nami puis il s'enfuya. La pluie se stoppa et les nuages noirs disparurent laissant seulement Nami et Jecht sur la place. Jecht sourit en mettant sa main sur son menton...

"Alors comme ça il n'a pas envi de répondre à ma question...c'est risible..."

Jecht continuait de réfléchir, il semblait ne pas accorder une quelconque importance au fait que Nami le reconnaisse, et encore moins au Den den mushi qu'avait laissé Rushifa...

Tout à coup la pluie s’intensifia, on n’y voyait plus à 5 centimètre. Nami essayait de distinguer quelque chose mais on ne voyait vraiment rien. Soudain, elle entendit la voix de Rushifa à son oreille. Elle eut tellement peur qu’elle faillit faire un énorme bond en avant. Mais les paroles du révolutionnaire la firent rester sur place. Il disait qu’il avait compris qu’elle était d’accord avec lui et qu’elle était un peu spéciale, comme lui. Et qu’il ne fallait pas qu’elle oublie de parler à son équipage et qu’il deviendra vite célèbre. Il lui laissa également un Den Den Mushi. Puis la pluie s’arrêta et Rushi avait disparu. Nami se retrouvait donc trempée, un Den Den Mushi dans les mains, en face de… Jecht ?! Commença, c’était lui qui était là depuis le début ?! Il n’aurait pas pu le dire plus tôt vraiment ‼ Donc en fait, Nami avait en face d’elle un gars qu’elle connaissait et elle ne le savait même pas. Elle lui dit :

« Jecht s’était toi ?? Fallait le dire plus tôt ‼ Bon, on fait quoi maintenant que Rushi est parti ?? »

Elle n’était pas sûre qu’il lui réponde quelque chose qui lui plairait. Mais elle se posait une question, le Den Den Mushi, Rushifa le lui avait laissé pourquoi faire ? Pour qu’elle le rappelle, pour cela on était d’accord, mais peut-être devait-elle l’appeler pour des raisons précises, comme par exemple si elle avait recrutée quelqu’un à son objectif de liberté. Elle aller surement faire ça. Elle rangea le Den Den Mushi et attendit calmement la réponse de Jecht qui n’avait pas l’air de s’occuper grandement de la surprise de Nami quant à son identité, ce qui était logique, connaissant quelque peu Jecht, il ne s’occupait pas vraiment de ce que pouvait penser Nami. Cette dernière, qui était réellement trempée, profitait du soleil qui était revenue pour se séchée un peu. Les averses s’étaient succéder et elle n’avait pas vraiment eu le temps de profiter du paysage et n’avait pu observer calmement le ciel que lorsqu’elle avait été dans le bar et cela n’avait duré très longtemps. Jecht, lui ça n’avait pas l’air de le gêner énormément, pourtant il n’était pas très habillé. Et surtout, il ne lui avait toujours pas répondu…

Jecht continuait de réfléchir, jusqu'a se que Nami le casse dans son élan. Il rigola légérement et en affichant un sourire...

"Nous allons retourner au bateau de Renji, mieux vaux ne pas lui en parler pour l'instant. Confie-moi le den den mushi, je pense que je peux aider, d'une certaine façons, notre ami dans sa quête de liberté..."

Jecht dressait sa main en direction de Nami pour que cette dernière lui passe l'escargophone. Puis en voyant la tête surprise de Nami au fait que celui qui parlait au révolutionnaire n'était autre que Jecht, un vieil homme qui semblait si violent et idiot au départ...

Jecht répondit qu'ils feraient mieux de retourner sur le bateau mais qu'il ne valait mieux pas en parler à Renji. Il demanda également à Nami de lui donner le Den Den Mushi car il "pensait pouvoir aider, d'une certaine façon, leur ami en quête de liberté". C'était quoi cette raison là ?! Déjà qu'il avait pas dis que c'était lui, Nami devait en plus lui obéir. Non mais, il la connaissait mal !! Comme-ci elle allait lui donner bien gentiment !! Si Rushifa le lui avait donner à elle, ce n'était pas pour rien. Elle n'allait pas le donner à Jecht si facilement. Il avait tendu la main pour qu'elle lui passe le fameux Den Den Mushi. Elle se leva, ignorant sa main, et dit.

"Je préfère le garder merci. Viens, allons-y."

Et elle partit en direction du port. Elle n'avait pas vraiment apprécié qu'il lui cache d'abord son identité, ensuite qu'il s'en fiche, et pour finir qu'il lui dise ce qu'elle devait faire. Il ne fallait pas exagérer, elle avait des limites. Et elle n'aimait pas vraiment le comportement que Jecht avait eu envers elle à cet instant. Peut-être cela n'avais pas était volontaire mais elle n'avait pas apprécier tout de même. Si il voulait l'escargophone, il faudrait lui donner de vrais raisons. En attendant, elle ne l'attendait pas et se dirigeait d'un pied ferme vers leur bateau qui était amarrer depuis peu.

Jecht faillit tomber par terre en voyant le refus de Nami, elle devait être furieuse au fait que Jecht n'ait pas dévoilé son nom pour qu'elle le reconaisse. Il marcha au même rythme qu'elle en s'expliquant...

"Ok excuse-moi, j'aurais due dire mon nom quand j'avais commencé à parler. Je suis désolé..."

Jecht voyait que Nami se contre fichait de ses excuses, se qui le fit désespéré un peu, puis il ajouta les raisons du den den mushi...

"Enfaite, je pense qu'il croit que les paroles suffisent pour faire comprendre aux gens le sens de la liberté, seul un idiot l'aiderait juste grâce à des paroles intelligentes. Mais pour tout d'avouer, si aider quelqu'un qui use plus de paroles plutot que de faire des actions est un idiot, alors j'en suis un ! Et même un gros ! Je veux l'aider à apporter la liberté sur les îles, mais pour cela, je dois lui faire part de certaines choses pour l'aider. Du genre comment faire pour apporter la liberté, comment faire pour convaincre le plus de personnes possibles..."

Jecht était très sérieux, ça pouvait se lire sur son regard. Même si il gardait son sourire d'enfant, il ne machait pas ses mots et savait parfaitement se qu'il disait...

Jecht suivait Nami de près. Il s’excusa d’abord de ne pas s’être présenter, puis, voyant que Nami se fichait royalement de ses excuses, expliqua les raisons pour lesquelles il avait demandé le Den Den Mushi à la jeune fille. Il fit un grand discours, parlant d’actions réelles plutôt que de simples paroles. Il voulait seulement donner des conseils à Rushi dans sa quête d’aventure. Nami réfléchit. Elle lui accorda le fait qu’il valait mieux faire des choses concrètes à la place de simples discours. Mais, elle était en colère, pour une raison quelconque, et elle avait un peu de mal a retrouvé son calme. Elle marcha donc en silence. Elle savait très bien qu’il était sérieux malgré le sourire enfantin qu’il gardait toujours. Elle hésitait à lui laisser l’escargophone. D’un côté, elle lui aurait bien passé, ses arguments étant assez juste. Mais de l’autre, elle ne voulait se résigner à cette action. Pourquoi ? Elle ne saurait le dire. Surement une simple intuition, qui se révèlerait sûrement fausse après quelques minutes. Mais elle ne le voulait pas. Elle resta ainsi, en réfléchissant intensément au choix qu’elle allait prendre. Ce n’était pas un choix qui allait définir le reste de son existence, et pourtant, elle se laissait largement le temps pour se décider. Parfois certains choix sont plus importants qu’on ne le pense. C’est pour cette raison qu’elle se tut jusqu’à leur arrivé devant le bateau de leur capitaine, le Black Pearl. Elle sortit le petit Den Den Mushi et le tendit vers Jecht.

« Après réflexion, j’accepte de te le laisser. De toute façon je n’en aurais pas l’utilité avant un petit moment. Maintenant si tu veux bien, je retourne vaquer à mes occupations. »

Et elle monta sur le bateau pour directement se diriger vers sa cabine. Elle s’allongea sur son lit et réfléchit. Sa rencontre avec Rushifa ne pouvait que la laisser perplexe. Malgré qu’elle soit tout à fait d’accord avec lui, elle ne pouvait s’empêcher de se remémorer encore et encore les paroles du révolutionnaire. Ses désirs de liberté étaient tout à fait en accord avec ce que désirait Nami au fond d’elle. Mais elle ne savait plus que pensait. Elle resta dans son lit à remuer de temps à autres. Pendant que les autres s’activaient sur le pont. Apparemment ils allaient bientôt repartir en mer.

Jecht et Nami retournait sur le bateau de Renji, Nami ne dit rien du tout. Jecht, attendant la réponse de Nami, en profitait pour pécher les poissons avec son bras. Il attendait que ses derniers mordent pour les remonter. Il utilisait le Tekkai pour ne rien sentir. Il en avait attraper environ 15 de cette façons. Une fois arrivé sur le bateau, Nami passa le den den mushi à Jecht en disant que pour l'instant elle ne comptait pas l'utiliser. Jecht soupira en disant:

"T'aurais pus le passer depuis le début, ça aurait était plus rap..."

Jecht se bloqua net en voyant le regard noir de Nami, puis rangea le den den mushi et repartit à son poste...

"J'ais rien dit ! Oubli !"

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