¤ Nom / Prénom : Saint Algol Dahaka
¤ Surnom : Algol Fear, le prince rebelle (déteste le deuxième)
¤ Date de naissance : Inconnue
¤ Âge : inconnu, entre douze et 14 ans, mais ses pouvoirs le font ressembler à un enfant de huit ans ce qui rend la tâche assez compliquée.
¤ Fonction : Révolutionnaire
¤ Rang : Bretteur
¤ Arme(s) : Tatsu Ryou (Dragon Buster)
Egalement appelée Dragon-Slayer, Chasse-dragon ou encore Briseur de Dragon, cette épée légendaire est une des neuf armes de corps à corps les plus rares et recherchées à travers le monde entier. Connue pour être capable de blesser un dragon (ou un monstre marin de taille moyenne) sans trop de difficulté, il semblerait qu'elle été conçue spécialement afin de pouvoir pénétrer la plupart des protections, comme par exemple des armures de plates et naturellement, les écailles de la plupart des félins ce qui la rend très dangereuse. Forgée à partir d'un minerai inconnu, cette arme se distingue entre autre par la lame rougeâtre et noire en forme d'aile de dragon et surtout, à sa garde, incrustée d'un bijou ressemblant suspicieusement à un Saphir taillé de tel sorte qu'il ressemble à un oeil bleu fendu en amande. Longue d'environ soixante dix centimètres, cette épée est apparemment une sorte de Ma Dao à en juger par sa forme. Détail assez sympathique, Algol considère le nom de cette arme comme philosophique, sachant qu'il compte bien s'en servir pour "Briser" les Tenryuubitos.
Dragonstomper .48 (Écrabouilleur dragonnesque calibre 48)
Le Dragonstomper calibre 48 est un revolver à rouet autrefois utilisé par les Tenryuubitos avant que ces derniers ne décident (stupidement d'après Algol) de le jeter pour utiliser des armes plus lourdes. Il semblerait qu'il n'y en ai eu qu'une dizaine de construits... Dix pour "Dix petits veinards" comme le dit si bien le jeune garçon et pour cause : il s'agit apparemment de l'une des meilleures marques de revolver jamais fabriquée, pouvant tirer jusqu'à sept balles en l'espace de deux secondes avant de se recharger (en l'ouvrant par le centre). Puissant, précis à 100 % jusqu'à 20 mètres et étonnamment léger, son seul défaut est peut être son recul, recul qui, si l'arme est trop utilisée, a tendance à engourdir le bras utilisé pour le tenir, jusqu'à finalement fissurer les os si une utilisation exagérée est faite... Du moins, dans le cas d'Algol à cause de son jeune âge. Chose assez intéressante : à l'instar d'un tromblon, ce revolver peut être chargé avec quasiment n'importe quoi, Comme des balles ordinaires (pour une utilisation optimale) un même des billes ou encore des pierres, ce qui le rend assez utile dans pas mal de domaines. Al peut limiter le recul (ou du moins l'atténuer) en utilisant ses deux mains pour le tenir, mais il ne le fait que quand ses adversaires sont trop loin pour l'atteindre. Chose étrange, l'histoire indique que chacun des Dix Dragonstompers est différent des autres, le jeune garçon voulant ainsi trouver les autres modèles pour les collectionner et surtout, tester leur efficacité.
¤ Fruit du démon : aucun
¤ Description physique :Algol est un jeune garçon d'une grande beauté malgré une apparence parfois maladive... Avec un teint pâle, des traits fins et délicats, malheureusement gâchés par une pâleur devenant parfois maladive et des cernes entourant de temps en temps ses beaux yeux jaunes fendus en amandes. Bien que ses joues soient encore légèrement rebondies, lui donnant un charme enfantin très présent, le fait que ses traits soient marquées assez régulièrement par une pâleur maladive gâchent hélas la beauté de l'ensemble. Ses cheveux mi-longs, légèrement mal coiffés sont d'une couleur Platine presque blanche, la chevelure d'Algol étant assez douce et soyeuse généralement. Il est à noter également que ses cheveux forment une sorte de "hérissement" naturel derrière son crâne, lui donnant même un étrange charme. Cependant, un conseil d'ami : Ne vous approchez pas de lui en ayant de mauvaises intentions si vous tenez à conserver l’étanchéité de votre corps, le jeune garçon ayant en effet les attaques faciles.
Mesurant un mètre trente et ayant un corps relativement bien fait pour son âge, du aux entraînements draconiens qu'il subit quotidiennement , il parait malgré tout (quand il est habillé) Extrêmement frêle, ses vêtements amples semblant en effet flotter autours de lui, mais quand il est torse nu ou juste en débardeur, on se rend compte que son corps est en fait nettement plus musclé qu'il n'y parait, surtout pour son âge ! Cependant, ce n'est pas tout ce qu'on remarque : il porte effectivement un kanji noir tatoué sur le ventre représentant le mot "Tama" (âme).
En ce qui concerne sa manière de s'habiller, Sa tenue préférée est un Trench Coat noir à col haut, ainsi qu'une sorte de chemise blanche traversée horizontalement à la poitrine par une rayure verte typée "camouflage forestier" et un pantalon D'Aïkido de la même couleur. hormis la croix marquant son Sweat, La seule trace de "couleur" sur son corps dans ce cas là vient des baskets blanches qu'il porte aux pieds. Il recouvre également ses mains par des mitaines noires. Signe particulier : Son Trench-coat est orné du Kanji "Yami" (ténèbres) dessiné entre les épaules. Il a d'ailleurs l'étrange habitude de garder la manche gauche de son manteau vide, la main gauche pendant sans vie sur son ventre, posée négligemment sur les pans du manteau généralement fermé à cet endroit. Il arrive aussi qu'il cache son visage sous un étrange capuchon noir, mais c'est relativement rare. Enfin, pour compléter son habillage, il porte à l'oreille gauche une boucle d'oreille ressemblant à un rubis rouge auquel est accroché une étrange tresse grise de petite taille. Il arrive parfois qu'il quitte son Trench-coat, montrant ainsi ses bras, mais c'est extrêmement rare, sauf pour les combats.
Sa manière de se tenir est assez étrange aussi... Enfant répudié d'une famille de Tenryuubitos (d'où son surnom de "prince rebelle"), Algol a gardé les traces de son éducation et de son ancienne vie dans sa manière particulièrement fière (même quand il est malade) de se tenir et de combattre. Toujours droit comme un I, même si il a parfois les mains dans les poches, il dispose aussi d'une "poker face" presque impassible quand il parle à un inconnu et sa manière souple et élégante de se déplacer est un signe incontestable d'une éducation noble. Son style de combat adroit et agile ressemble à une danse (d'ailleurs, la plupart de ses techniques SONT des danses) et malgré son jeune âge, son fruit lui permet de déployer une force bien plus grande que son apparence petite et fragile devrait posséder.
¤ Description mentale : Algol a beau être un rebelle, il est aussi avant tout un noble... Jeune Certes... Répudié certes, mais tout de même un noble. Et il se conduit comme il l'a apprit... Juste avec quelques modifications qui font de lui un enfant nettement plus mignon et surtout, fréquentable que ses anciens parents.
Pour commencer, il parle littéralement comme un livre, sortant parfois des mots que la plupart des adultes ont du mal à sortir, le tout avec une voix certes toujours enfantine, mais si sérieuse qu'elle en est presque séductrice. Son Charisme inné est déjà très élevé, à tel point que même quand il est malade, ce qui arrive assez souvent (son fruit semble affaiblir son système immunitaire, le rendant ainsi assez fragile), il est difficile pour les gens normaux de se moquer de lui ou de lui manquer de respect. De plus, il peut (quand il est en colère) avoir le "regard qui tue", faisant généralement reculer les autres enfants sans problème, ainsi que certains adultes. Enfin, c'est un gentleman malgré son jeune âge, ainsi qu'un beau parleur à ses heures perdues, répugnant à faire du mal aux femmes (dont il reconnait pourtant l'égalité avec les hommes) et patient parfois à l'excès. Il sait reconnaître les gens supérieurs à lui (en force ou en intelligence) et fait preuve de respect, que ce soit envers ses adversaires ou ses alliés. D'ailleurs, sa phrase Fétiche ("je ne suis qu'un gosse...") montre clairement qu'il est loin de se surestimer. Cela dit, il n'a pas que des qualités...
Son défaut principal est peut être le fait d'être parfaitement conscient que à cause d'une maladie inconnue qui affaiblit son système immunitaire et le laisse parfois très faible, il ne vivra pas aussi longtemps que les autres gens et que à moins d'un miracle ou de trouver un traitement, il mourra au plus tard à vingt ans... Si bien qu'il n'a aucune patience, voir même une haine particulièrement farouche envers les gens suicidaires ou prenant des risques insensés pour obtenir quelque chose, indiquant que "quelqu'un prêt à jeter sa vie aux orties est une INSULTE aux gens comme lui". De plus, bonne éducation oblige, il ne supporte pas les gens qui se "noient" dans l'alcool et a tendance à vouloir "mettre un terme à leur ivresse décadente" ce qui a une nette habitude de le rendre presque invivable pour les fêtards et surtout, lui donner une réputation de briseur d'ambiance. Malgré le fait que son entourage tente parfois de le dégeler en lui disant qu'il devrait profiter de la vie tant qu'il le peut encore, l'éducation qu'il a subit a provoqué des dommages irréparables à son enfance.
En réalité, il est juste effrayé, jaloux et amer... Sa fin potentiellement prévue pour beaucoup plus tôt qu'il le voudrait lui fait peur et il sait qu'il n'arrivera peut être pas à sa majorité... Il ne pourra donc peut être jamais goûter aux plaisirs de la vie ou même, connaître l'amour, ce qui, autant le dire, lui fait penser à quel point il est injuste que la plupart des gens qui mangent un fruit du démon ne subissent aucun effet secondaire alors que lui doit souffrir et surtout, voir sa vie se consumer à grande vitesse, malgré la minuscule lueur d'espoir : trouver un médecin pouvant découvrir la véritable cause de sa maladie et le traitement permettant de la neutraliser. Au fil des jours, des mois, puis des années, cette peur ne manque pas de se changer en jalousie... En colère... En amertume... Pour enfin devenir de la haine. Haine envers ses propres pouvoirs qui le condamnent, envers lui-même, pour avoir mangé ce fruit par simple arrogance et surtout, envers ceux qui ne comprennent pas à quel point chaque vie est sacrée et fragile. Pour l'heure, il utilise des médicaments fournis par un des médecins révolutionnaires qui permettent de limiter l'avancé de la maladie, mais même ainsi, cette étrange infection continue à prendre le dessus et sa peur augmente d'avantage.
Parallèlement, son état de santé est également la cause principale de son objectif : les Tenryuubitos sont des monstres qui, d'après lui gâchent la vie des autres en les asservissant tout en se drapant dans leur arrogance, détruisant également l’existence des autres juste parce qu'ils en ont le pouvoir, si bien que les discours et objectifs du grand Monkey D. Dragon sont pour lui la pure vérité : le pouvoir est source de corruption et de malheur... Ceux qui ont le pouvoir doivent donc le perdre par tous les moyens... Son but est donc simple et rejoint celui des autres rebelles : détruire l'ordre établi afin de mettre tout le monde sur un pied d'égalité... Et ainsi (pour lui en tous cas) former un monde parfait, rempli de paix, d'amour, d'amitié et de bonheur... Il veut voir ce monde avant de mourir, rien qu'une fois et est prêt à tout pour cet objectif... Ainsi, il répugne à tuer, mais est prêt à le faire, si la mort d'une personne peut faire le bonheur de cent autres, il le fera... Cependant, son dégoût pour les tenryuubitos est viscéral et semble remonter à bien avant qu'il ne tombe malade...
¤ Histoire : L'histoire d'Algol est assez tumultueuse et marquée par d'horribles changements, de perspectives différentes, de larmes et autres troubles...
Au départ, cela commençait pourtant plus ou moins normalement : né dans une des familles de Tenryuubitos, descendants des vingt familles royales fondatrices du gouvernement mondial, Saint Algol (ou Juste "Algol" à l'époque) était un bébé assez étrange... Calme, ne pleurant jamais et souriant encore moins, il était malheureusement né avec une étrange maladie d'origine inconnue, lui donnant une constitution particulièrement faible, le faisant entre autre grandir au ralenti et surtout, faisant qu'il tombait malade beaucoup plus régulièrement que les autres, même quand il portait son scaphandre. Cependant, il ne manquait de rien à ce moment là... Sauf peut être d'une seule chose : l'amour, ses parents étant en effet trop occupés à Shabaody pour réellement s'occuper de lui. Ainsi, dès l'âge de quatre ans, il devint étrangement indépendant et glacial, passant le plus clair de son temps à apprendre à lire et à étudier dans son coin sous la tutelle de plusieurs esclaves. L'un d'eux en particulier, un enfant de son âge appelé Griever était à l'époque la seule personne à pouvoir discuter avec lui et surtout, à jouer à ses côtés, au grand dam des parents d'Algol qui n'appréciaient pas du tout cette relation. Cependant, ils n'agissaient pas, malgré les conseils de son oncle, Rosward. Cependant, même à l'époque, Al n'était pas aveugle ni stupide... Et chose étrange, l'éducation pour le moins stupide de ses parents sembla ne pas pouvoir le corrompre : au fil des années, le traitement des esclaves le dégoûta de plus en plus, mais trop faible pour s'y opposer, il ne put rien y faire, ne comprenant pas pourquoi la marine, censée éviter les injustices laissait ce genre d'horreurs se produire. Ne pouvant rien faire, le temps passa ainsi... Jusqu'au soir de son huitième anniversaire... Soir où il vit de près le vrai visage de sa famille.
Cette nuit là, sa cousine, Sharlia décida de mettre un terme à son amitié entre lui et Griever et tua froidement l'esclave sous les yeux d'Algol, lui expliquant que quelqu'un de son rang ne devrait pas se lier avec ce genre de créature. Initiative qui fit exploser un dégoût depuis trop longtemps refoulé en lui et seul son état physique l'empêcha de tenter d'éventrer sa cousine, laquelle parut surprise de voir la haine étincelant dans les yeux d'habitude si mignons et purs de son jeune cousin. Cependant, malgré son état lamentable, le jeune garçon se fit la promesse de tuer cette "garce" de ses propres mains... Idée qui augmenta et se changea finalement en une haine phénoménale envers toute sa famille quand il se rendit compte que les autres approuvaient l'action qu'elle venait de commettre. Il prit alors la décision de fuir Marijoa... Décision qu'il parvint à suivre en manipulant les gardes présents : En effet, alors qu'il était censé rester dans sa chambre (à la fois comme punition et surtout, pour se reposer), il parvint à en sortir, puis ordonna à un des gardes tournant dans la demeure familiale de le mener à l'armurerie, indiquant à ce dernier que c'était un ordre de son père, ce que fit le pauvre homme, inconscient du mensonge. Arrivant alors dans la pièce, la première action d'Algol fut de passer sa colère sur le malheureux en l'éventrant par surprise avec une des lames présentes dans la pièce, action qu'il regrette encore aujourd'hui, puis d'empoigner une des armes considérées comme obsolète chez les tenryuubitos : un revolver appelé Dragonstomper . 48 qui deviendra par la suite une de ses armes favorites, libérant enfin les parents de Griever de leurs colliers avant de quitter Marijoa au nez et à la barbe de ses parents en mentant aux gardes, leur disant que lui et ses esclaves devaient se procurer quelque chose pour son père souffrant, puis en volant un des petits navires de sa famille pour quitter l'île en compagnie des deux "affranchis". Malheureusement, son état de santé commença rapidement à empirer : En effet, peu habitué à quitter la demeure sans scaphandre et rapidement soumis au froid, il attrapa une violente pneumonie aiguë et frôla la mort plusieurs fois malgré les soins prodigués par ses deux "professeurs". Cependant, maintenu en vie par sa rage, cette dernière lui donnant une énorme vitalité, il se jura qu'il ne mourrait pas... Pas sans avoir eu la tête de sa cousine dans les mains... Et d'avoir anéantit cette famille immonde et corrompue dans laquelle il avait eu le malheur de naître ! Malheureusement, même avec cette promesse, son état de santé continua à se détériorer... Jusqu'à ce qu'un jour, un navire marchand partant en direction de l'île de Baltigo ne les croise et que le médecin de bord, beaucoup mieux équipé que les deux esclaves s'occupant de lui ne parvienne à le sauver de justesse au bout deux jours et deux nuits de soins intensifs. Dormant ensuite plusieurs jours pour récupérer de cette quasi-mort, l'enfant parla cependant dans son sommeil, l'idée de massacrer sa famille semblant devenir une obsession qui attira rapidement l'attention de plusieurs membres de l'équipage, infiltrés par un certain groupe afin de surveiller Shabaody. éloignant le reste de l'équipage de l'enfant en prétextant un risque de contagion (alors que la pneumonie ne se transmet pas normalement), les infiltrés attendirent que Al se réveille et explique ses motifs et surtout, comment il comptait, tout seul, exterminer la classe sociale la plus protégée du monde. Bien que dangereusement affaibli et incapable de bouger, le feu dévorant et implacable omniprésent dans les yeux dorés pourtant voilés par la fatigue du jeune garçon alors que ce dernier leur expliquait tout leur permit de se rendre compte que son motif ainsi que ses sentiments sur le sujet étaient puissants... Tout autant que la haine qui ne tarderait pas à le ronger si personne n'intervenait ! Ainsi, à mesure qu'il reprenait des forces et que les médicaments présents à bord lui permettaient de ralentir les ravages de son manque de défense immunitaire, les cinq hommes se présentant comme membres de l'armée des révolutions l'aidèrent à canaliser sa haine dans un entraînement au départ léger, tout en lui posant quelques questions mine de rien, essayant de tester les limites de ses sentiments. Bien qu'il comprenne très rapidement que les hommes tentaient en fait de savoir si il rejoindrait l'armée des révolutions, l'enfant fit celui qui ne voyait rien, pesant le pour et le contre, tout en se demandant si les objectifs des rebelles étaient ou non comme les siens. Mais ce fut finalement une fois le navire arrivé à destination que sa décision finalement fut enfin prise...
En effet, à peine arrivé sur l'île qui, il l'apprit avec stupeur abritait le quartier général de l'armée des révolutions, l'enfant, toujours convalescent entendit un discours très particulier sortant de la bouche de celui qui deviendrait son futur "maître" : Monkey D. Dragon... Discours qui ne tarda pas à le subjuguer rapidement, chaque mot prononcé par cet homme sonnant à ses oreilles comme une promesse de paix... Une invitation à la puissance... Alors que le discours prenait fin, il fut parmi les nombreuses personnes présentes à applaudir, sa décision étant prise : Il deviendrait révolutionnaire... Et formerait un monde parfait... Malheureusement, il prit rapidement conscience que son temps était limité... Le traitement qu'il prenait ralentissait le mal... Mais ne le détruisait pas... Le médecin s'occupant de lui lui indiqua d'ailleurs que peu de choses pouvaient soigner une telle déficience et que seul un traitement au niveau hormonal/cellulaire pouvait réparer les dégâts, la seule personne pouvant peut être le soigner ayant disparue depuis quelques temps déjà. Bien que légèrement déprimé par sa fin prochaine, le jeune garçon n'abandonna pas et s'enrôla dans l'armée des révolutions, malgré le désaccord de plusieurs personnes pensant qu'un enfant de huit ans n'avait rien à faire dans quelque chose d'aussi violent. Commença alors un entraînement au combat entrecoupé de cures diverses renforçant son corps en prévision de ses futurs combats et ce, pendant quatre ans... Quatre longues années pendant lesquelles son désir de voir ce monde parfait dont il rêvait le mena à se surpasser, apprenant rapidement à utiliser son Dragonstomper ainsi qu'une épée, son style aristocratique et son passé de Tenryuubito lui donnant le surnom de "Prince Rebelle" (ce qu'il haïssait), ainsi que le pseudonyme "Algol Fear", à cause de ses colères et de son charisme effrayants pour son âge. Arrivé à l'âge de onze ans, il disposait de capacités physiques hors-normes pour un enfant et malgré des maladies régulières, semblait pratiquement infatigable. On l'envoya alors avec un bataillon entier sur une petite île de South Blue dans une mission non-agressive : une simple mission de renseignement en vue d'une prochaine bataille à South Blue (Centaurea), mais cette mission tourna court... Alors qu'il venait d'obtenir les renseignements demandés et se préparait à quitter les lieux, un homme vêtu entièrement de noir et tenant à la main une étrange épée s'interposa et mutila deux de ses compagnon avant de tenter de le tuer, tous deux commençant un combat particulièrement difficile dans lequel Algol manqua de perdre la tête ou plusieurs autres parties de son corps plus d'une fois, son épée et celle de son adversaire entrant en contact plus d'une fois. Court, posé mais acharné, le duel ne dura qu'une petite demi-heure les deux adversaires étant chose bizarre au même niveau, Al compensant son manque de force par sa vitesse et son agilité, finissant finalement par gagner par pur coup de chance : Alors que l'homme s'apprêtait à lui asséner un coup qu'il n'aurait pas pu esquiver, le Dragonstomper lui échappa et, percutant le sol, se déchargea, l'homme n'ayant pas le temps de réagir avant que la balle perdue ne le frappe en pleine poitrine, le blessant mortellement sous les yeux choqués de Algol qui, n'arrivant pas à en croire ses yeux, s'approcha tout de même de son adversaire, recueillant les dernières paroles de ce dernier... Ainsi que son arme : Tatsu Ryou, un des neuf sabres légendaires et aussi, le grand manteau noir devenu par la suite son symbole. Il quitta alors l'île, apprenant par la suite de la bouche des divers espions rebelles la destruction d'Enie Lobby sous un Buster Call, Le sort de son oncle et de ses cousins passés à tabac par un certain Mugiwara no Luffy (ce qui failli le faire mourir de rire en imaginant la scène... Mais aussi, et surtout, la mort de Barbe Blanche et la guerre à Marine Ford, Guerre pendant laquelle l'armée des révolutions profita de l'absence de la marine pour s'emparer de Centaurea avant de commencer à comploter la prise de North Blue, malgré les paroles plus prudentes de Dragon.
Deux années sont passées depuis...