une arrivée fracassante [Fini]

marie et alex avait fait une longue route pour arriver sur l'ocean d'east blue. ils venait d'accoster dans la tristement celebre ville de longuetown. marie expliqua alors pourquoi son premiè choix d'ile etait celle la.

marie: je sais que ce n'est surement pas la qu'ils l'on caché, mais ici, il y a de nombreux marine plus ou moin gradé, je suis sur qu'on trouvera quelqu'un qui sache ou se cache jean.

grace au navire de marine volé, ils avaient put se mettre dans le port principal de la ville. il etait descendu discretement. marie et alex mirent quand meme une capuche pour cacher leur visage. ils arrivèrent alors au centre ville la ou se trouvait l'echaffeau ou avait ete tué le seigneur des pirates. c'etait aussi d'ici qu'on avait la meilleur vu sur le batiment de la marine.

marie: c'est dans se batiment qu'on va devoir rentrer pour trouver des information correcte. plus on s'approchera de jean plus il nous faudra faire attention. les information fournit au grade inferieure de colonel on de grande chance d'etre fausse. suis moi, il vaut mieux esseyer de rester discret au debut.

marie commensa a se diriger en direction du quartié general de la ville.

marie et alex etait derière le batiment. un petite porte tres bien caché pour quelqu'un qui ne connai pas son existence. mais marie connaissait tout les passages de cette enorme batiment. arrivé devant cette porte marie assoma un garde

marie: un seul garde. soit ils sont sur que personne ne trouve cette porte, soit ils sont completement idiot.

marie s'avanca vers la porte, et juste pour verifier, essaya d'ouvrir la porte par la poigné. a l'etonement d'alex et marie, elle s'ouvit.

marie: je veut bien croire qu'ils sont idiot, mais peut etre pas a se point. je le sens pas, va falloir faire attention.

marie entra dans le batiment sur ses gardes.

alex lui dit que quelque chose clochait et que soit ons surveillait, soit il se passait quelque chose. marie continua a marcher mais tourna un peut la tete.

marie: (marie sourit) hum, bien sur qu'ils nous surveille. tu me croi bete ou quoi? tu croi serieusement qu'on passerrai inapercut ?! des le debut il savait qu'on etait la mais ils l'aurai bien su un jours alors c'est pas bien grave et suis moi.

marie continuait a marcher sans se preocccuper du reste.

alex et marie etait arrivé dans une piece rempis de marine, alex detruit les canons des marines et demanda a marie de continuer son chemin car il avait envit de s'occuper les marines. marie leva les yeux au ciel et commenca a partir tout en disant a alex.

marie: oui oui c'est sa amuse toi, mais depeche toi.

marie continua alors son chemin. elle arriva dans une autre salle ou se trouvait plusieure objets plus ou moin interresant, quand marine entendit des pas de marine. dix marine arrivèrent sue elle.

marie: dix, vous allez pas durer longtemps mes pauvres...

marie sorit son sabre (pas le rouge l'autre) et fonca sur les marine et donna un unique coup. il tombèrent tout, mort.

marie: je vous avez prevenu...

marie vit alex arriver dans sa direction.

alex ne s'arreta pas devant marie et continua son chemin. il detruissi une porte et tomba sur deux haut gradés. il dit a marie qui lui laissait si elle voulait et qu'il partait devant. marie fixa les marine.

marie: hum..lieutenents..sa va pas durer tres longtemps... Hakai-tekina burēdo

marie fonca sur les marines et lers donna chacun un coup d'épée. il volèrent et eurent chacun une blessure interne importante mais marie les laissa en vie.

marie: pas assez fort..

marie passa son chemin et rejoignie alex.

marie avait rejoin alex. alex parraissait calme, serieux et quand il vit marie, il pointa du doigt un homme et demanda a marie si c'etait lui. marie devisagea l'homme puis s'approcha de lui.

marie: toi, comment tu t'appelle?

inconnu: jean madame....je suis un marine et...

marie lui donna un violent coup de poing dans le ventre de l'homme.

marie: je t'ai demandé ton nom, pas celui qu'on ta demandé de ma donner...

marie attendit en tennant l'homme, plié en deux...

Loguetown, un endroit magnifique remplie de victime potentiel. Oui, c’est le genre de chose que je voyais directement. Bien que largement gardé par la marine, cela restais facile d’entrer à l’intérieur. Oui, je sentais que j’allais tuer et cette fois j’allais m’attaquer à la marine. Ce serait sans aucun doute beaucoup plus amusant qu’un simple civil ne sachant pas se défende. J’arrivais tranquillement sur la grande place, celle ou était mort le seigneur des pirates. Du moins c’est ce que j’avais compris. Je me faufilais péniblement dans la masse lorsque j’entendis une énorme détonation qui affola la population. Cela ressemblait à un coup de canon. Mon corps frémis de plaisir rien qu’à cette pensé, enfin j’allais m’amuser. Je regardais l’endroit d’où venais le son, il s’agissait du QG.

Je me dirigeais donc las bas, pénétrant à l’intérieur par la porte de devant. Ce fût avec surprise que je constatais qu’il n’y avait qu’un seul marin présent pour garder l’entrée. Il ne m’attaqua pas, ce demandant ce que je faisais la. A peine avait-il la main sur la garde de son sabre. Je m’approchais de lui lentement en prenant un air effrayé et il sourit. Ce fût son dernier sourire. Attrapant rapidement mon katana, je le dégainais d’un seul coup. Il parvint à sortir à moitié son propre sabre avant que le mien ne le tranche, entaillant profondément sa chair. J’étais petit, mais il allait mourir. Le sang coula, sa bouche s’ouvris mais il ne poussa aucun crie. Je la lui tranchais quelque seconde après avec un sourire avant de reprendre mon chemin.

Je montais rapidement dans les étages sans rencontrer personnes. Une chose étonnante dans une base marine. Soit ils étaient tous dehors soient ils étaient tous mort. Ce que je constatais en voyant une pièce presque entièrement détruite ou était présent plusieurs canon en miette. Celui qui avait fait sa était fort, très fort. Une marre de sang était désormais présente autours des cadavres. Je continuais de grimpais dans les étages. Je finis par découvrir deux marines blessé entrain de se vider de leurs sangs, tandis que deux autres tentaient de les soigner. Je débarquais silencieusement derrière eux et plantait mon katana dans la gorge du premier. Le deuxième se tourna brusquement vers moi et esquiva de justesse mon attaque faisant apparaître une large balafre sur son visage.

Je plantais mon katana dans le corps de l’homme blessé sur le sol, au bord de la mort, il gémit encore. Le marine que j’affrontais réagis au car de tour et m’attaqua en hurlant. J’esquivais l’attaque frontale en faisant un simple pas sur mon côté, mon katana ressortie du corps et l’entailla profondément dans le ventre. Il tomba sur le sol en poussant un gémissement. Je décidais donc de continuer mon chemin afin de trouver d’autre adversaire. Mon sang palpitais rien qu’en sentant le danger s’approchant. Oui, j’adorais ce genre de chose, je m’approchais de la mort, risquant ma vie en m’infiltrant dans se bâtiment. Et cela m’amusais. Je ne doutais pas que d’autres marines allaient bientôt débarquer et cela allait rendre la chose encore plus amusante. Je ne savais pas vraiment ou j’étais mais je finis par apercevoir à l’encadrement d’une porte, un homme avec une capuche sur la tête cachant son visage. Je secouais ma lame en faisant partir le sang et m’approchais lentement. Il ne semblait pas comme les autres.

D’un geste de la main gauche j’ouvris ma flasque avant de boire une rasade de sang, je sentais le danger, la mort pas loin de moi et cela m’excitais au plus au point. Un bruit de pas derrière moi, d’un geste je fis un mouvement de mon katana en arrière. Simple réflexe dans un univers hostile. Ma lame s’enfonça dans la chaire d’un homme qui poussa un crie de surprise. Sans doute ne m’avait-il pas vue, ou bien pensait-il que j’étais inoffensif.

Je retirais lentement ma lame du corps du marine qui s’effondra sur le sol. Le sang coula lentement. Je secoué à nouveau ma lame avant de la posé sur mon épaule, le coté non tranchant en premier. Oui, mon katana n’avait qu’un seul tranchant, bien affuté. Cela permettait ainsi d’augmenter la résistance de la lame bien que je doutais de pouvoir la casser. Je regardais l’homme en face de moi qui avais la même position. Je m’approchais un tout petit peu comme si de rien était. Il sentait la mort. Oui, il avait déjà tué, c’était un meurtrier. Rien qu’en voyants la position qu’il avait, rien qu’à l’intonation de sa voix lorsqu’il me posa une question. Il ressemblait à mon père. Je souris et lui répondis.

-Ba rien, jmammuse comme tout le monde.

Oui, je m’amusais, encore plus depuis que je l’avais rencontré. Néanmoins une question me taraudais, peut-être était-elle stupide ou pas, néanmoins elle me paraissais importante.

-Pourquoi vous êtes la ?

Je continuais de m’approcher, il paraissait tranquille comme si rien ne pouvais lui arriver. Son épée sur l’épaule était énorme et bien plus grande que moi. Il s’accroupit et me répondis comme si de rien était. Il se mettait à ma hauteur et cela failli m’énervé, mais au moins il ne semblait pas me prendre de haut. Oui, je déteste les gens qui me prennent de haut à cause de ma petite taille. Il se présenta, au moins il était poli. J’appris ainsi qu’il s’appelait Alex, un nom sympathique et bizarrement je n’avais pas envie de le tuer. Sans doute était-ce parce qu’il semblait être un peu comme mon père. Mais en même temps qu’il parlait, il me posait des questions, des questions que je failli ne pas entendre.

-Ba j’m’amuse, j’avais rien a faire, j’ai entendue du bruit chu rentrée. Et puis j’m’appelle Luca mais j’connais pas la suite.

Je l’écoutais, lui aussi était un tueur, il venait de me le dire bien que ce n’était pas vraiment direct. Il me posa plein de question, des questions qui m’obligeais à réfléchir et une chose était sur, je n’aimais pas réfléchir. Je ne répondis donc pas tout de suite sentant un mal de tête arrivé lentement. Sa dernière phrase par contre m’intéressa au plus au point, néanmoins, je répondis méthodiquement à chacune de ses question.

-Oui, j’ai toujours fait sa. J’vis seul, mes parents sont morts et donc c’est eux qui contrôlent ce que je fais (dis-je en pointant du doigt le cadavre derrière moi.). M’amuser… je m’amuse tout le temps, j’ai rien d’autre à faire. Je tue tout ce que je veux c’est tout.

C’était exactement ce que je faisais, je m’amuser, tout le temps, je posais donc une floper de questions qui sortir tous en même temps que ma bouche.

-J’pourrais tuer ? Faire mal ? Sur qui je veux ? Aller où je veux ? Quand je veux ? Manger du chocolat ? Boire du sang ?

Tout sortait de ma bouche de façon plus ou moins ordonné et cela n’avais pas toujours un rapport avec la situation présente, malheureusement.

Il ria de toute mes question, cela m’agaça légèrement mais lorsqu’il sortie une barre de chocolat de sa poche mes yeux devinrent des petites étoiles brillante. Je saisis le chocolat, le déballer rapidement et le manger d’un seul coup. C’était si bon. Mon katana tomba sur le sol et je le ramassais lentement avant de lui dire.

-Ba j’viens alors, j’vais pas rater une occas de m’amuser.

Oui, je voulais m'amuser, en plus il avait du chocolat, c'était le bonheur, néanmoins, je ne bougeais pas, je voulais d'abord attendre sa réponse. la méfiance restait de mise, il s'agissais la d'une chose importante pour la survie.

marie interregait le marine, elle lui posait nombre de questions. le marine ne reussi qu'a lui donner son veritable nom, sans interré, et donna des information. marie n'y croyait bien sur pas une seconde et donna un autre coup de poing au marine pour l'envoyer contre le mur. puis elle se tourna vers alex et vit un jeune garcons d'une dizaine d'année. elle s'approcha et demanda a alex.

marie: c'est qui le mioche?

alex lui repondait qu'il s'agissait de lucas et qu'il lui avait proposé de les rejoindre. marie regarda alex et soupira.

marie: proposer a n'importe qui de nous rejoindre n'est pas reellement une bonne idée. (elle observa lucas) mais bon au moin c'est un revolutionnaire...

marie aussa les epaules et continua son chemin pour arriver au plus vite au niveau suivant sans verifier si ils la suivaient.